Marc-Éric Fortin et Karine Lamarre prouvent que le projet Lovaganza n'a jamais eu l'intention d'exister en supprimant à la hâte tous leurs clips sur Youtube.

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01 avril 2020

Marc-Éric For­tin et Karine Lamarre prouvent que le pro­jet Lova­ganza n'a jamais eu l'intention d'exister en sup­pri­mant à la hâte tous leurs clips sur YouTube.

Pour ceux qui entre­te­naient tou­jours un mince espoir de récu­pé­rer quelques sommes moné­taires que ce soit de la part de Karine Lamarre For­tin et Mark-Érik For­tin dans leurs aven­tures rocam­bo­lesques de Lova­ganza, créé par Jean-Fran­çois Gagnon et Gene­viève Clou­tier Gagnon. Vous pour­rez consta­ter qu'ils ont pris rapi­de­ment soin en 24h de tout effa­cer leurs traces et conte­nus se rat­ta­chant au pro­jet Lova­ganza, qui n'aura fina­le­ment et offi­ciel­le­ment main­te­nant, jamais vu le jour.

Donc tout ceux qui ont investi dans ce pro­jet, ce sont offi­ciel­le­ment fait avoir. Quand les finan­ciers sup­priment le sup­posé fruit de leur tra­vail, c'est que c'est vrai­ment rendu du bois mort !

Je leur ai remis leurs codes de ges­tion­naires de ce fameux compte you­tube lors de leur pre­mière demande la semaine der­nière suite à une mise en demeure dou­teuse qui fera l'objet d'une plainte au comité de dis­ci­pline du Bar­reau du Qué­bec tant pour sa forme, son contenu que pour sa déli­vrance. Cette page you­tube ne ser­vait plus à per­sonne puisqu'ils s'affairent main­te­nant à tirer pro­fit de leur nou­veau pro­jet bien huilé – Je vois la vie comme ci -.

Bien désolé de bri­ser les rêves de ceux qui y ont cru pen­dant long­temps et au plai­sir d'ouvrir les yeux à ceux qui croient que le pro­jet – Je vois la vie comme ci -, sera traité, géré ou abou­tira autre­ment que celui de Lova­ganza.

Même scénario pour séduire les investisseurs dans les projets de JF&G's Adventures

  1. Site web et pho­tos très travaillés
  2. Bande-annonce (2 min.) d'un film/projet (6 min.) vendu en ligne. Les sta­tis­tiques réelles de ventes seraient inté­res­santes à consulter.
  3. Pré­senté comme un court-métrage (The Sun­shine Shop – Lova­ganza pré­ten­due­ment pré­senté à cannes, mais que per­sonne là-bas n'a entendu parlé.)
  4. Musiques ren­dues publiques avant le film/projet parce que ça coûte moins cher à pro­duire pour convaincre d'investir.
  5. Vidéos-fea­tu­rettes pour don­ner l'impression de grande production.
  6. Pré­sence numé­rique sur de mul­tiples pla­te­formes. (Voir la liste de la dou­zaine de pla­te­formes épa­tantes dans notre pré­cé­dent article)*Notez que ces pla­te­formes ne véri­fient pas la véra­cité ou la pro­ve­nance des projets.
  7. Auto-pro­cla­ma­tion de titres pom­peux pro­fes­sion­nels tels: Exe­cu­tive pro­du­cer, Stars mon­tantes de la musique ou Hol­ly­woo­diennes, etc..
  8. Myriade d'entreprises écrans aux inter­re­la­tions com­plexes et incor­po­rés au Dela­ware. (Exemples ci-bas qui ne com­prennent pas les entre­prises de Karine Lamarre For­tin et de Mark-Erik Fortin)

 

Le Delaware est un état reconnu pour installer des compagnies qui recherchent les avantages d'évasions fiscales et d'anonymats corporatifs

On comprend mieux le sourire de satisfaction ($$$) de Geneviève Cloutier Gagnon dans son nouveau projet « Je vois la vie comme ci ».

Je-Vois-La-Vie-Comme-Ci-Geneviève-Cloutier-Gagnon