Le recours ne pourra avoir lieu sous sa forme actuelle, mais d’autres options se dessinent positivement!
29 mars 2020
Le recours ne pourra avoir lieu selon les termes juridiques, mais il y a d'autres stratégies mises en place.
Malheureusement, le recours collectif contre Karine Lamarre, Mark-Érik Fortin, Jean-François Gagnon et Geneviève Cloutier ne pourra aller plus loin. Non pas que les intimés ne soient exemptés de leurs fautes, mais bien pour des raisons techniques.
Premièrement, le fait que j'ai travaillé dans les bureaux des accusés pour surveiller mon investissement m'a discrédité comme porte-parole officiel puisqu'un doute pourrait subsister auprès des victimes, dont moi-même et ma propre conjointe à l'époque, sur le fait que j'aurais pu être complice de ma propre fraude. Voyez ici l'ironie.
Deuxièmement, les accusations sur l'oncle Huissier de Mathieu Carignan dont se vantait l'équipe des intimés d'avoir de l'information privilégié la veille des remises de papier de la cour par d'autres huissiers ne semblait pas assez étoffés pour, paraît-il, aller plus loin dans ce dossier d'accusations. Même si on les voit clairement le mentionner comme un avantage dans leur façon d'aborder des « investisseurs » dans le reportage de J.E. ci-bas à 4:15.
Finalement, puisque la solvabilité des intimés est très douteuse due au fait qu'ils cachent leur argent ou qu'elle est envoyé directement à l'étranger par les investisseurs eux-mêmes, le recours se bute donc à une intention non-solvabilité du recours. Si nous avions pu débattre davantage nos points quant à la responsabilité du Huissier de Paquettes et Associés, la solvabilité du recours aurait été tout autre.
Donc, cette étape passée, nous avons encore des ressources et des moyens à présenter aux victimes afin de continuer des démarches légales pour récupérer de l'argent qu'ils nous ont pris sous de fausses représentations et manipulations diverses.
Restez aux aguets, nous publierons les prochaines étapes dans les prochaines semaines.