18 sep­tembre 2023

En éternel financement, JF&G vous offrent leur nouveau "coming soon project" après 5 projets qui n'ont jamais vu le jour et des millions de dollars disparus !

Un autre pro­jet "Coming Soon" de JF&G après les Dizzy Racers, Lova­ganza, Je vois a vie comme ci, Ter­ra­di­sio et main­te­nant: "CARROUSEL OF TIME". Déci­dé­ment, les for­mules des pro­jets frau­du­leux et avor­tés des Qué­bé­cois Jean-Fran­cois Gagnon et Gene­viève Clou­tier s'accumulent, se trans­forment, s'adaptent et changent d'orientation à vitesse grand‑V!

Une belle car­rière cou­ron­née de pro­jets invi­sibles avec cette der­nière mou­ture CARROUSEL OF TIME. Est-ce le début du 5e cha­pitre de cette saga d'arnaque qué­bé­coise qui traîne devant les tri­bu­naux depuis déjà près de 10 ans ? ..À qui la (mal)chance d'investir dans cette ver­sion renou­ve­lée de la saga de Lovaganza ?

Pen­dant ce temps, il est tou­jours pos­sible de croi­ser leurs par­te­naires Marc-Éric For­tin et Karine Lamarre par un beau dimanche à l'épicerie, au res­tau­rant ou au Costco, entre deux télé­phones avec de futurs pigeons-inves­tis­seurs et autres dis­cus­sions stra­té­giques avec les der­nières miettes d'avocats res­tantes, qui osent s'embarquer dans leur défense deve­nue autant ridi­cule, chao­tique, qu'impossible, tel­le­ment leur paroles, faits et gestes sont incriminants.

Bien qu'ils se débattent depuis plus de 5 ans auprès de la jus­tice et leur pro­cès face à l'AMF en uti­li­sant toutes les tac­tiques pos­sibles pour exploi­ter la len­teur d'un sys­tème de jus­tice qui peine à conclure une simple annonce de sen­tence, ils n'ont jamais cessé de sol­li­ci­ter des fonds illé­ga­le­ment, mal­gré le dérou­le­ment de leurs pro­cès. Ils ont d'ailleurs tou­jours clamé qu'ils n'avaient aucune inten­tion de ces­ser, de s'aligner avec les lois et les accré­di­ta­tions néces­saires pour mener léga­le­ment leurs opé­ra­tions artis­tiques, ne serait-ce que pour légi­ti­mer auprès des inves­tis­seurs, une réelle inten­tion cor­po­ra­tive ou entre­pre­neu­riale légale.

Déjà, qu'ils pré­fèrent choi­sir la voie tor­due et com­plexe des mul­tiples pro­cès plu­tôt que de s'outiller sim­ple­ment pour mener à bien leurs pro­jets, révèle sans aucun doute ni aucune sub­ti­lité, qu'il n'y a jamais vrai­ment eu de réelles inten­tions d'en réa­li­ser concrè­te­ment un seul et qu'ils se fichent éper­due­ment (forme psy­cho­pa­thique) des dom­mages finan­ciers et des drames humains et fami­liaux qu'ils ont cau­sés auprès d'approximativement 1200 à 3000 per­sonnes. Ils sont donc devenu en une forme de can­cer social qui tue len­te­ment cette der­nière en y répan­dant de constants et gran­dis­sants dommages.

C'est donc dans cette réa­lité de jus­tice qué­bé­coise que ces per­sonnes peuvent conti­nuer leurs méfaits en toute tran­quillité depuis près de 10 ans, tout en se maga­si­nant une peine d'emprisonnement à temps-par­tiel, aux 3–4 mois, selon les bons adons d'agendas de cour, juges et avo­cats dis­po­nibles. Et hop! c'est ainsi qu'ils se retrouvent avec des 3 et 6 mois sup­plé­men­taires de per­mis­sion d'opérer leurs acti­vi­tés cri­mi­nelles avant la pro­chaine com­pa­ru­tion pour se trou­ver une mala­die, un empê­che­ment, une requête "spé­ciale" ou autres stra­té­gies à invo­quer pour faire repor­ter les com­pa­ru­tions d'un autre 3 et 6 mois.. et ainsi de suite depuis 10 ans.

Ce qui est le plus éton­nant dans cette saga judi­ciaire, c'est l'acceptation totale de l'effondrement de la cré­di­bi­lité gou­ver­ne­men­tale auprès des citoyens qu'il se doit de déser­vir, un offrant plu­tôt un sys­tème de jus­tice com­plè­te­ment désuet et inef­fi­cace et qui se couvre de ridi­cule en cau­tion­nant l'impunité sociale qu'elle engendre à cause de son inca­pa­cité à suivre le rythme de l'évolution des formes de crimes et de la société en géné­ral. Cela finit inévi­ta­ble­ment par encou­ra­ger jusqu'à même tra­cer le che­min aux cri­mi­nels d'orienter désor­mais leurs délits sur les crimes modernes dont les zones juri­diques seront demeu­rées trop floues ou trop embryon­naires pour y voir quel­conque obs­tacle qui vau­drait la peine d'être consi­dé­rés comme étant des mesures et des lois suf­fi­sem­ment dis­sua­sives pour tout cri­mi­nel qui vou­drait y ten­ter son coup.

Rien au Canada, le champs est libre au Qué­bec éga­le­ment. « Cou­rez et fon­cez intel­li­ge­ment vers ces crimes et vous en sor­ti­rez gagnant, même si une légère peine que quelques mois de pri­son bon­bon pour­rait, poten­tiel­le­ment, peut-être, vous incom­ber dans 10 ou 15 ans.. vous aurez eu suf­fi­sam­ment de temps néces­saire pour bien dépla­cer et cacher un très ren­table magot qui assu­rera votre péré­nité et celle de vos petits-enfants, mais sur­tout, vos efforts seront infi­nie­ment et plus gran­de­ment récom­pen­sés que si vous aviez choisi de vivre et gagner votre vie de façon impô­sée, légale et hon­nête! » Voilà le triste mes­sage lancé par votre gou­ver­ne­ment et votre appa­reil judi­ciaire en 2023.

De cette façon, les mal­fai­teurs s'assurent d'avoir moins de juris­pru­dences contre leur nou­velles stra­té­gies cri­mi­nelles, des lois démo­dées qui trai­ne­ront pen­dant des décé­nies à s'ajuster à ces nou­veaux crimes finan­ciers, web et autres de notre belle ère numé­rique. Le sys­tème de jus­tice crie mal­adroi­te­ment aux orga­ni­sa­tions cri­mi­nelles de lais­ser tom­ber les vols, les bra­quages et la drogue pour les­quels les lois se sont déve­lop­pées et ren­for­cées au fil du temps.. mais de choi­sir plu­tôt des crimes web, infor­ma­tiques et finan­ciers, là où le far-west de Lova­ganza oeuvre en roi et maître, sans aucun félins pour y sur­veillers les rats qui y dansent en chan­tant les lou­nages de leur comptes de banque off-shore liés à leurs mul­tiples che­mins de socié­tés-écrans qui les engraissent.

Quelqu'un a‑t-il déjà entendu un gou­ver­ne­ment ou une haute ins­tance de direc­tion judi­ciaire décla­rer: - Nous allons prendre des mesures concrètes pour accé­lé­rer les pro­ces­sus légaux afin d'être plus pro­duc­tif et effi­cace face à la crois­sance natu­relle des besoins judi­ciaires de notre société? – Voilà donc com­ment règne cette aussi belle paix d'esprit pour les orga­ni­sa­tions cri­mi­nelles, car il n'y a jamais aucun empres­se­ment ni pro­jet de réforme en ce sens.

Nous sommes approxi­ma­ti­ve­ment 9 mil­lions de qué­bé­cois en 2023 dont le réseau judi­ciaire repose sur des infra­struc­tures des années '50 où nous avions seule­ment une popu­la­tion de 3–4 mil­lions.. Soyez patients, pre­nez un numéro et vos enfants connai­tront peut-être un jour, le ver­dict de votre démarche judi­ciaire. D'ici-là, armez-vous de patience, ache­tez-vous des gilets pare-balles si vous vivez près des grands centres, n'ouvrez plus de cour­riels ni de tex­tos au cas où ce serait de l'hameçonnage qui vide­rait vos comptes de banques en moins de 2 minutes et sur­tout, bonne chance dans la pour­suite de votre bon­heur de citoyen payant, car en atten­dant, vous pour­rez tou­jours vous diver­tir avec des pro­cès sans-fins, caducs et dépour­vus de bien­veillance sociale comme celui-ci.