Mark-Érik et Karine étaient les "Jean-Simon" et "Jade" de Lovaganza

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Autre exemple bien acces­sible au grand public d'ici, est le per­son­nage de Jean-Simon dans la der­nière sai­son de l'émission "l'Échappée" dif­fu­sée sur TVA et dis­po­nible en rat­ta­page-télé avec le lien ci-contre.

Le per­son­nage du gou­rou Jean-Simon, sous une appa­rence de bien­veillance, uti­lise une pano­plie d'outils et de stra­té­gies psy­cho-cog­ni­tives afin de prendre un mal­sain contrôle sur son entou­rage dans le but d'en tirer des béné­fices per­son­nels, finan­ciers et stra­té­giques, menant ainsi le pro­lon­ge­ment d'une quête per­son­nelle tor­due vers une fina­lité aux consé­quences tragiques.

Bien que cette série puisse hor­ri­ble­ment se ter­mi­ner par ce qui semble être un pacte de sui­cide col­lec­tif par les der­niers dis­ciples de ce couple gou­rou, cette der­nière scène ne pour­rait être plus élo­quente quant à l'illustration du car­nage social addi­tionné aux lourdes consé­quences finan­cières qu'auront exer­cés les diri­geants de LOVAGANZA et JF&G auprès de nom­breuses familles et inves­tis­seurs, qui auront cru leurs his­toires fal­si­fiées, en vou­lant faire le bien huma­ni­taire, sim­ple­ment parce qu'ils auront eu le mal­heur de les avoir croi­sés sur leur chemin.

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Tel que le pro­jets qué­bé­cois Lova­ganza avec Karine et Mark-Érik à l'époque, le gou­rou de cette série, Jean-Simon, accueille tou­jours les nou­veaux venus avec de grands sou­rires et acco­lades exa­gé­ré­ment cha­leu­reuses. Stra­té­gi­que­ment vêtus sim­ple­ment, le but étant d'augmenter l'effets d'honnêteté, d'authenticité et d'accessiblilité de sa per­sonne afin d'augmenter sa cré­di­bi­lité de per­son­nage offrant une démarche dépour­vue de menace auprès de per­sonnes vul­né­rables. Vic­times poten­tielles venues cher­cher des réponses à quel­conque quête per­son­nelle de bien­fai­sance, dési­rant réa­li­ser une belle affaire finan­cière ou dési­rant sim­ple­ment contri­buer à l'essort d'un pro­jet huma­niste et ras­sem­bleur que repré­sen­tait Lova­ganza à l'époque de 2011 à 2017.

Tout comme le fai­sait ce gou­rou de cette série, Karine et Mark-Érik For­tin pren­naient régu­liè­re­ment soins d'avoir plu­sieurs dis­cus­sions très per­son­nelles avec employés et garde rap­pro­chée. Ils n'hésitaient pas à man­da­ter des gens à l'interne pour épier et espion­ner les autres en ce sens. Ce mode opé­ra­toire leur don­naient une ouver­ture pour cer­ner leurs vul­né­ra­bi­li­tés afin d'y insé­rer des points d'ancrages pshy­cho­lo­giques qui les empê­chaient de réflé­chir dans une direc­tion contrai­gnante afin de mieux contrô­ler et diri­ger les faits et gestes de groupes. Un sys­tème les pro­té­geant et qui assu­rait une conti­nuité plus fluide de leur "sup­po­sée" entre­prise à voca­tion humanitaire.

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Mais encore, Karine et Mark-Érik For­tin, tel le gou­rou de cette série, Jean-Simon, uti­li­saient fré­quem­ment des tac­tiques de chan­tages, menaces émo­tion­nelles et d'exclusion social ou de groupe afin d'empêcher les dis­si­dents à conti­nuer leurs ques­tion­ne­ments légitimes.

Les menaces per­son­nelles, émo­tives et finan­cières, sou­vent sub­tiles au quo­ti­dien des jours de bureau, mais pro­gres­si­ve­ment pro­non­cées et lim­pides à la fin de leur règne aux bureaux de Bou­cher­ville étaient éga­le­ment et fré­quem­ment appli­quées auprès des inves­tis­seurs et employés par Karine Lamarre et Mark-Érik For­tin. Une situa­tion vécue tant par les employés floués de One-Land et Lova­ganza, que les clients et par­te­naires d'affaire. L'organisation et la direc­tion de One-Land (Karine et Mark-Érik For­tin) était éga­le­ment cha­peauté et super­vi­sée par le couple JF Gagnon et Gene­viève Clou­tier qui s'affichent sous l'appellation JF&G.

Des mises en place déli­ca­te­ment gra­duelles et quasi-indé­dec­tables de contrôle pour mieux exé­cu­ter leurs fraude, offi­ciel­le­ment décla­rés ainsi par L'AMF qui les suivent pour­chassent inter­mi­na­ble­ment depuis 2014.

*Aver­tis­se­ment: notez que les res­sem­blances avec les per­son­nages de la série "l'Échappée" se situent au niveau des rela­tions humaines, stra­té­gies – orga­ni­sa­tion et pla­ni­fi­ca­tion struc­tu­rée de mani­pu­la­tions de la pen­sée, de la psy­chée ratio­nelle, émo­tive, rela­tio­nelle et sociale de leurs employés, garde rap­pro­chée et béné­voles. Le tout à été appuyé par de fausses repré­sen­ta­tions basées sur de mul­tiples paliers de décla­ra­tions men­son­gères dans un objec­tif de dis­tor­sion de la réa­lité afin d'augmenter l'obtention dolo­sive de faveurs finan­cières, sociales, d'avancements per­son­nels, cor­po­ra­tif ou entre­pre­neu­riaux. Celles-ci étaient prin­ci­pa­le­ment exer­cées par les deux têtes diri­geantes de l'entreprise dénom­mée "One-Land" qui elle-même était cha­peauté par les deux diri­geants de "JF&G", à l'endroit : des employés des deux entre­prises pré­cé­dem­ment nom­mées, inves­tis­seur (clients), ainsi que sur de mul­tiples four­nis­seurs et par­te­naires d'affaire externes. En aucun cas et aux der­nières nou­velles des témoi­gnages: aucune per­sonne, vic­times de cette fraude (clients) ou employés n'ont été, direc­te­ment ou indi­rec­te­ment, dro­guée, tatouée, frap­pée, séques­tré, saoulé ou médi­ca­menté, avec ou sans consen­te­ment ou à leur insu, contrai­re­ment à cer­taines scènes et dérou­le­ments qui sont pré­sen­tés dans cette série "l'Échappée".