Pourquoi se mobiliser contre cette escroquerie ?

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25 octobre 2016

Pour­quoi se mobi­li­ser contre cette escroquerie ?

Par: Jean-Fran­çois Simard
Pré­sident et ini­tia­teur du recours collectif

Pre­miè­re­ment, ces gens font des vic­times toutes les semaines encore aujourd’hui sous le nom de « MOMENTUM ENTERTAINMENT PRODUCTIONS » (www.mep.world), « 4 STARS GROUP » ou encore « THE MARKARE COMPANY LLC », et il est impor­tant que cette super­che­rie cesse sans délais, vue les innom­brables dom­mages col­la­té­raux qu’ils causent auprès de familles, de couples, d’enfants et de retrai­tés. Ils n’ont aucuns scru­pules pour vous sou­ti­rer tout l’argent que vous avez et ils vont tout faire pour vous pro­po­ser des solu­tions d’emprunts, afin de rem­plir votre cré­dit à ras-bord et ver­ser le maxi­mum que vous pou­vez, dans leur poches avec des approches du style:

 

« Vous savez que vous pou­vez ré-hypo­thé­quer votre mai­son jusqu’à 80% pour inves­tir dans le projet? »

« Avez-vous des REER ou des placements? »

« Com­bien vous reste-t-il sur votre marge de crédit? »

« J’ai déjà tra­vaillé dans le domaine ban­caire et je peux vous aider à rem­plir vos demandes! »

 

Des vic­times on eu besoin de psy­cho­logues et de psy­chia­trie pour se sor­tir de ce pro­jet pensé, dirigé, et struc­turé comme une secte. Ça m’a pris un temps énorme et j’ai dû faire preuve d’une très longue résis­tance pour être capable de me sor­tir de ce "Brain­wa­shing pro­gres­sif" qui nous menait tout droit à la rue avec les trois enfants, à force de ne pas nous payer nos salaires et de nous deman­der tou­jours et tou­jours plus d’argent et d’engagement envers leur pro­jet. « On veut du com­mit­ment », disaient-ils de façon récur­rente et insis­tante auprès des employés pour s’assurer de leur servitude.

Si quelqu’un démon­trait de façon jus­ti­fiée quel­conque mécon­ten­te­ment, ils étaient ridi­cu­li­sés publi­que­ment en démo­lis­sant leurs ques­tion­ne­ments et en leurs disant qu’ils étaient cou­pables d’envoyer de la mau­vaise éner­gie au pro­jet. « On a pas besoin de gens qui penses comme vous! ». Quand ils te doivent des mil­liers de dol­lars, la plu­part des gens se la fer­mait dans l’espoir d’être payés pour mieux par­tir plus tard.

Ce sont des per­sonnes redou­tables pour iden­ti­fier les failles et les fai­blesses de cha­cun et ils les exploitent au maxi­mum à leurs pro­fits. En fait, ils se concentrent uni­que­ment là-des­sus, ayant même un dic­tion­naire des mala­dies expli­quant leurs liens et les failles psy­cho­lo­giques qu'ils engendrent sur les per­son­na­li­tés, comme lec­ture de che­vet. À cette époque, je tra­ver­sais une dépres­sion majeur. Moments où ma garde et mes réflexes pro­fes­sion­nels et d’affaires étaient plu­tôt en hiber­na­tion. Ils n’ont donc pas eu à cher­cher trop loin pour trou­ver et exploi­ter mes fai­blesses qui étaient bien évi­dentes tant pour eux que pour moi à ce moment-là.

Ils ont éga­le­ment un sys­tème de numé­ro­ta­tion stra­té­gique pour chaque type de per­sonnes qu’ils approchent en plus d’être dirigé par un men­to­rat des plus énig­ma­tique qui les guident étroi­te­ment pour par­faire leur opé­ra­tions 24h/24. Ils sont extrê­me­ment orga­ni­sés. J’ai moi-même lu direc­te­ment de ces mes­sages sur la plate-forme appe­lée « In-Box » du télé­phone de Karine, car elle ne com­pre­nait pas ce qu’ils vou­laient que je change dans cer­tains visuels que j’avais créé pour One-Land à l’époque.

Dans ce men­to­rat où les échanges se font en anglais uni­que­ment, il faut rem­plir de curieux et longs ques­tion­naires pour y avoir accès, selon deux ex-conjointes de Marc-Éric qui ont due subir ces même ques­tion­naires. Karine Lamarre m’avait annon­cée en secret et avec un cer­taine fierté cette par­ti­cu­la­rité un soir en me disant qu’elle et Marc-Éric fai­saient par­tie d’une « société secrète » !?

Ce qui est impor­tant de com­prendre ici, c’est que le men­to­rat ne sug­gère pas que des conseils de ges­tion d’entreprise, mais il décide direc­te­ment ce qui est à faire et com­ment le faire! Ils les conseillent éga­le­ment sur leurs façon de jau­ger les inves­tis­seurs poten­tiels avec un sys­tème numé­rique lou­foque relié à la « réin­car­na­tion » pour chaque per­son­na­lité. Il y a des 7, des 8, des 9, 10, 11, 12, des G‑20, etc.. Plus tard, nous avons com­pris que c’était une tech­nique sec­taire qui per­met­tait d’identifier «LA» per­sonne à mani­pu­ler dans un couple ou un groupe pour sti­mu­ler (for­cer-obli­ger) les autres à inves­tir. Et en même temps, cette méthode per­met­tait de hié­rar­chi­ser les rap­ports de tra­vail pour créer des pres­sions sur les subordonnés.

Donc:

• Qui sont ces gens der­rière le mentorat ?

• Pour qui et quels inté­rêts travaillent-ils ?

• Inves­tis­sons-nous dans une orga­ni­sa­tion cri­mi­nelle en bout de ligne ?

 

De par ces méthodes très effi­caces, dois-je mal­heu­reu­se­ment l’avouer, non seule­ment ils siphonnent les inves­tis­seurs, mais s’en servent aussi pour mani­pu­ler tous leurs employés ainsi que leur garde rap­pro­chée. Ce sont des prin­cipes de contrôle hié­rar­chiques typiques des sectes et d’organisations cri­mi­nelles qui nous ont clai­re­ment été expli­qués par des enquê­teurs spé­cia­li­sés en crimes  finan­ciers et orga­ni­sa­tions sectaires.

Leur emprise est un cercle vicieux d’où il est extrê­me­ment dif­fi­cile de se sor­tir, car nom­breuses sont leurs tac­tiques, psy­cho­lo­giques et  finan­cières, pour gar­der les gens à leur ser­vice. Les témoi­gnages en ce sens ne manquent pas. Tou­jours dans le chan­tage: « Si tu ne conti­nue pas, on ne te rem­bour­sera pas, ..ou on va s’arranger pour que ton rem­bour­se­ment s’étire sur 40 ans » - Mar-Éric Fortin.

J’espère qu’à la lec­ture de ce texte, cer­tains auront enfin le déclic de se dire: "C’est assez, je sors de là !"

Car oui, mal­gré les inter­dic­tions et blo­cages de l’AMF, les 247 chef d’accusations dépo­sés par ces der­niers, les repor­tages élo­quents de La Presse, J.E. et la for­ma­tion de notre regrou­pe­ment, il y a tou­jours encore des gens qui croient que les célé­bri­tés faus­se­ment liées au pro­jet de Lova­ganza: Ste­ven Spiel­berg, Bono (U2), Leo­nardo DiCa­prio, Mor­gan Free­man, Ewan McGre­gor et autres, seraient com­plices avec Lova­ganza pour conser­ver le secret de leur impli­ca­tion et la sur­prise mar­ke­ting d’un grand dévoi­le­ment à venir! C’est pour dire leurs excel­lents talents de per­sua­sion et de contrôle qu’ils ont sur les gens.

Ils ont même convain­cus deux Huis­siers de Jus­tice du Qué­bec à inves­tir dans ce pro­jet. Ces huis­siers se pré­sen­taient même aux réunions des inves­tis­seurs. Ils se saluaient tous en se don­nant la main avec rires et plai­sirs, comme de grands amis, habi­tués de se voir à force de se ren­con­trer lors des remises de mise en demeure et des convo­ca­tions de l’AMF. L’un d’eux, l’oncle du co-accusé Mathieu Cari­gnan, les pré­ve­nait la veille de leur pas­sage afin qu’il se pré­parent. Un délit majeur pour le sys­tème de la Jus­tice du Qué­bec. Une faute encore plus grave, parait-il même, que cette fraude finan­cière qu’ils ont com­mis, car selon des témoi­gnages recueillis auprès du milieu juri­dique qué­bé­cois: « Cela touche et remet en cause toute l’intégrité de notre sys­tème judiciaire »

Cer­tains ont quit­tés de bons emplois avec sécu­rité sous pro­messe d’ententes sala­riales offi­cielles et une fois ins­tal­lés dans les bureaux de One-Land, ils étaient payés selon l’humeur de Karine ou Marc-Éric, soit une fois par 3 ou 6 semaines… et par­tiel­le­ment… et si cela adon­nait! Aucune recon­nais­sance et res­pect pour des gens qui se sont enga­gés et don­nés corps et âmes pour eux. De plus, ils payaient en argent comp­tant pour la majo­rité du temps, mais avec les RAS. (Réduc­tions à la source: Impôts fédéral/provincial, Assu­rance-emploi, Rentes, etc.). Aucun talon de paie, de T‑4 ou de sys­tème comp­table pro­fes­sion­nel. « C’est en atten­dant et on va comp­ta­bi­li­ser tout ça! » pro­met­tait Karine Lamarre For­tin. Évi­dem­ment, rien n’a été fait en ce sens et cela leur per­met­tait de conser­ver ces sommes sup­po­sé­ment rete­nues pour leur dépenses personnelles.

Karine se ser­vait lar­ge­ment dans l’argent des inves­tis­seurs pour payer ses dépenses per­son­nelles à la grande stu­pé­fac­tion des employés qui ne rece­vait pas leurs paies. Elle fai­sait des paie­ments de voi­tures de luxe pour elle et Marc, payait la loca­tion d’une mai­son à 700 000$ dans l’un des quar­tiers des plus cos­sus de la rive-sud. Ils se payaient des pay­sa­gistes, femme de ménage et des ser­vices d’entretient en tout genres, en plus d’une « Nou­nou-Ser­vante », rien de moins, qu’ils exploi­taient et trai­taient moins bien que leurs chiens. (Une chance que c’était une amie d’enfance de Karine!) Elle payait aussi les acti­vi­tés spor­tives des enfants, les épi­ce­ries, bref, des dépenses cou­rantes per­son­nelles avec l’argent récu­pé­rée au nom d’un sup­posé pro­jet professionnel.

À une soi­rée de Noël, nous avions cal­culé qu’ils avaient dépensé autours de 7000$ en cadeaux pour eux deux et les 3 enfants, alors que les employé se deman­daient com­ment ils allaient faire pour réus­sir à mettre 5$ d'essence dans leur voi­ture pour la semaine. Pas de faute de frappe, 5$!  Rien n’était trop beau ni à l’épreuve de leur effron­te­rie qui était sans limites et sans aucun égards auprès des inves­tis­seurs et employés.

Une per­sonne ren­con­trée a vendu toutes ses pos­ses­sions: mai­son, voi­ture, meubles, etc, et s’est retrou­vée à la rue avec ses enfants à quelques jours de sont départ de l’aéroport, parce qu’elle s’était fait pro­mettre un faux emploi à l’étranger pour la « Fon­da­tion Lovaganza ».

« – Fina­le­ment, on aura pas besoin de toi, désolé… main­te­nant retrouve-toi un chez-toi, ré-équipe ta mai­son et rachète toi une voi­ture, j'ai un autre appel, bonne chance, clic! »

Cer­tains plus âgés ont vidé tous leurs REER! Ils n’ont pas tous l’énergie et le temps de se rebâ­tir une santé finan­cière à 65 ans. Une jeune mère et employée de One-Land s’est retrou­vée, à sa grande sur­prise, avec des huis­siers à sa porte pour des dettes de 80 000$ encou­rus par Karine et Marc-Éric qu’ils avaient mi à son nom. Quand la per­sonne gagne autours de 15$/heure: 80 000$, …ça frappe fort un huis­sier! …et sur sa santé à elle aussi !

Ou encore décou­vrir qu’après un mes­sage par texto de « Bonne Année, On vous aime, On lâche pas! », on vous fac­ture 4 heures plus tard, sans votre consen­te­ment, 10 000$ pour une loca­tion de condo et une voi­ture à Los Angeles afin de se cacher de l’AMF du Qué­bec et conti­nuer à faire la grosse vie. Ce n’est que la pointe du ice­berg quand on fait confiance à ces indi­vi­dus, car il y a des anec­dotes de ce genre à racon­ter par cen­taines, sans aucunes exagérations.

Cela me révolte de voir ces mytho­manes et psy­cho­pathes faire la grosse vie sur le bras d’investisseurs floués et ceux des nou­velles vic­times, alors que plu­sieurs en bavent lour­de­ment ici à cause de leurs men­songes et fausses repré­sen­ta­tions. Lova­ganza est un bull­do­zer qui ne laisse rien der­rière son pas­sage dans votre vie et vos finances, car une fois que vous avez investi, ils vous tiennent parce que vous avez peur de perdre votre inves­tis­se­ment. Tenez-vous loin de ces gens là, car vous n’en sor­ti­rez jamais un temps soit peu gagnant-gagnant, même pas proche!

Pour ce qui est de leurs pro­jets de films, ce sont des ama­teurs qui "apprennent sur le tas" en se fai­sant pas­ser pour des étoiles mon­tantes aux frais des vic­times. La qua­lité de la pro­duc­tion qu’ils dévoilent au compte goutte et le jeu des acteurs en témoigne rapi­de­ment. Jamais ça ne se com­pare à une pro­duc­tion de qua­lité télé­vi­suelle ou ciné­ma­to­gra­phique sérieuse comme nous en voyons tous régu­liè­re­ment sur nos écrans. Un tra­vail de niveau secon­daire ou col­lé­gial en cinéma serait plus crédible.

Ils uti­lisent vos fonds pour se payer des soi­rées à plus de 5000$ le billet, où l’on peut se faire pho­to­gra­phier avec n’importe quelle grandes vedettes d’Hollywood, de la haute société, du monde des affaires et de la poli­tique pour ensuite venir vous dire que ce sont des amis, des men­tors et des acteurs qui veulent s’impliquer dans leurs projets.

À la fin de mon impli­ca­tion, j’étais exas­péré de sen­tir et devi­ner leurs men­songes répé­ti­tifs en plus des actes de vio­lences phy­siques et ver­baux entre Karine et Marc-Éric. Ils allaient même jusqu’à tout cas­ser dans la mai­son. Leur hypo­cri­sie, trai­trise et mau­vais trai­te­ments envers ceux qui les aidaient de bon cœur était deve­nue insupportable.

Il était fré­quent d’arriver à leur domi­cile pour tra­vailler et de consta­ter de que de nou­velles choses étaient bri­sées par leurs intenses bagarres. Trou de coup de poing dans le mur, portes défon­cées, miroir cra­qué, trou au pla­fond causé par une chaise tenue à bout de bras par excès de colère, voi­ture d’employée défon­cée par Marc-Éric avec délit de fuite, voie de fait déclaré par Karine à tout vents, etc, etc..

Leurs voi­sins ont même dus dépo­ser offi­ciel­le­ment des plaintes à la police tel­le­ment leur frasques dépas­saient les bornes et déran­geaient ce quar­tier cos­sus et pai­sible du Par­cours du Cerf de Lon­gueuil aux limites de Boucherville.

On a bien fini par tous com­prendre qu’ils étaient tout le contraire de l’essence du pro­jet Lova­ganza qu’ils nous ven­daient et le contraire total de leur iden­ti­tés Face­book rem­plies de pen­sées humaines et d’images phi­lo­so­phiques pour se don­ner une espèce d’immunité publique afin de paraître sym­pa­thiques et sédui­sants auprès du pro­fil bien étu­dié de leurs inves­tis­seurs ciblés.

Avec toute cette mau­vaise répu­ta­tion qu’ils se sont créé au Qué­bec, ils se sont vu obli­gés d’opérer sous de nou­veaux noms en rem­pla­ce­ment de One-Land que sont: 4 STARS GROUPS LLC, THE MARKARE COMPANY LLC et MOMENTUM ENTERTAINMENT PRODUCTIONS LLC. Assez iro­nique de les voir pro­cla­mer cette mis­sion d’entreprise suivante.

 

! Atten­tion, on nage ici en plein délire et para­doxe com­plet tel­le­ment cet énoncé est en totale oppo­si­tion de leur faits, gestes, pen­sées et com­por­te­ments au quo­ti­dien. On vous laisse juger par vous-même ! :

Notre mis­sion et la réa­li­sa­tion ultime de notre vision ont une solide base morale. Les valeurs éthiques fon­da­men­tales par­ta­gées par toutes les per­sonnes dévouées impli­quées dans les pro­jets de MEP ne sont autre chose que la foi solide de l’empathie humaine, de la gen­tillesse et de la conscience sociale, qui peuvent don­ner lieu à des actions col­lec­tives ayant un impact durable à l’échelle mondiale.

TRADUCTION DE: The pro­mo­tion of our mis­sion and the ulti­mate rea­li­za­tion of our vision have a strong moral foun­da­tion. The core ethi­cal values sha­red by all dedi­ca­ted people invol­ved in the pro­jects of MEP are none other than the solid faith in human empa­thy, kind­ness and social awa­re­ness, which can give rise to col­lec­tive actions with world­wide posi­tive durable impact.

 

Autres faits à noter et qui sont tout de même assez révé­la­teurs de leur super­che­rie, pour des per­sonnes qui veulent ulti­me­ment « sau­ver tous les enfants du monde » avec leur inexis­tante « Fon­da­tion Lova­ganza », est que Karine Lamarre For­tin ait perdu la garde et les droits paren­taux de ses 3 enfants, pour cause de mau­vais trai­te­ments psy­cho­lo­giques et alié­na­tion paren­tale. Non pas que je veuille mettre l’emphase sur ce mal­heu­reux cri­tère qui est très déso­lant pour ces enfants, mais plu­tôt mettre la lumière sur la réa­lité de ces gens qui se cache der­rière des pro­fils sociaux exem­plaires, aux limites de la divi­nité, alors que leur réa­lité en est tout le contraire.
*Cita­tions de cour reçues et auto­ri­sées de publi­ca­tion par le père exas­péré de l’environnement mal­sain infligé par la mère auprès des enfants, tant pour l’escroquerie de Lova­ganza, que la vio­lence dans son couple et de leurs tac­tiques de contour­ne­ment des lois de la DPJ.

De son côté, Jean-Fran­çois Gagnon n’offre aucun sup­port à son fils en détresse en lui octroyant géné­reu­se­ment UNE ou DEUX visites par année, depuis les 5–6 der­nières années! Un fils qui pour­tant et mal­heu­reu­se­ment, déclare publi­que­ment depuis long­temps et de façons régu­lières, des volon­tés sui­ci­daires très claires sur Facebook!
*Confes­sions per­son­nel­le­ment reçues de son fils, bien dépourvu aux tra­vers de tout ce scan­dal sur son père et témoins direct de ses textes de détresses.

 

À LA CONNAISSANCE DE CES FAITS:

• Croyez-vous vrai­ment qu’ils veulent sau­ver tous les enfants du monde, alors qu’ils ne sont pas capable de s’occuper à bien de leurs propres enfants ?

• Croyez-vous vrai­ment qu’avec toutes leurs démê­lés avec la Jus­tice, qu'ils sont fiables et pro­fes­sion­nels au point d'y inves­tir toutes vos économie?

• Croyez-vous tou­jours à l'imposture de gens bien­veillant qu’ils se donnent sur les médias sociaux en regard de leurs réels faits et gestes de fraude, de vio­lence et d'abus dans la « vraie vie » ?

• Pré­fèrent-ils les soi­rées mon­daines, les célé­bri­tés et la gloire, au prix de la perte de leurs propres enfants ?

Visi­ble­ment, il appert mal­heu­reu­se­ment que c’est le cas et c’est comme ça que Lova­ganza-Scan­dal est né.

 

Pour conclure,

J’ai donc senti naître en moi cette mis­sion de lever cette cause défen­dante du Regrou­pe­ment des vic­time de l’affaire Lova­ganza et One-Land, car je suis l’un des rares inves­tis­seurs qui s’est impli­qué pro­gres­si­ve­ment et quo­ti­dien­ne­ment avec eux pen­dant envi­rons 2 ans et demie pour ten­ter de mener à bien ce pro­jet qui se vou­lait huma­ni­taire, gran­diose et sup­po­sé­ment un excellent investissement.

Comme employé, j’ai eu en main beau­coup d’informations puisque je m’occupais du bran­ding en géné­ral, des info­lettres, du site web, des réseaux sociaux, etc. Un jour, par ces atouts, je me suis rendu compte que j’étais le seul qui pou­vait orches­trer une riposte col­lec­tive, car per­sonne n’avaient autant d’informations et d'outils que moi en mains pour com­mu­ni­quer avec les inves­tis­seurs qui ne se connais­saient pas entre-eux et leur démon­trer toute la vérité qui se cachait et se cache tou­jours der­rière leurs fausses entre­prises et représentations.

Jean-Fran­çois Gagnon qui était allé à l’école avec mon frère, Gene­viève Gagnon avec moi au secon­daire, m’avaient ras­su­rés sur les demandes d’investissements ini­tiaux de Marc-Éric en 2011, en me disant que cela allait même pro­fi­ter à mes petits enfants. « Vas‑y, c’est Marc-Éric qui s’occupe des inves­tis­se­ments, tu dois trai­ter avec lui. ‑JF Gagnon ». Sans méfiances parce qu’ils venaient de mon petit milieu proche et per­son­nel, j’ai consenti à investir.

Mais parce que je me méfiais de Marc-Éric For­tin à cause de quelques mau­vaises expé­riences pro­fes­sion­nelles vécues avec lui par le passé et jouis­sant d’une répu­ta­tion rare­ment favo­rable, je me suis fié à l’adage qui dit: « Sois proche de tes amis, et encore plus proche de tes enne­mis » . Je me suis donc impli­qué dans ce pro­jet pour m’assurer de son bon dérou­le­ment et veiller de près à mon inves­tis­se­ment. Vous com­pren­drez-donc que je me suis fais avoir mal­gré tout si vous lisez ce texte, car oui, j’ai perdu énor­mé­ment le mot est faible dans cette aven­ture cau­che­mar­desque. Mais j’ai fina­le­ment agit, avec de pré­cieux collaborateurs!

En ce moment, l’étau se res­serre for­te­ment et les fer­vents ne sont plus que quelques-uns à être encore hyp­no­ti­sés par leurs stra­ta­gèmes de tou­jours repous­ser et repous­ser les fausses échéances pro­mises. Les gens floués se mani­festes et embarquent dans notre recours qui connait un suc­cès ines­péré. Le nombre de for­mu­laires de récla­ma­tion rem­plis en aussi peu de temps par les vic­times en témoigne de façon fra­cas­sante. Ils y voient plus clair et c’est très encou­ra­geant de voir qu’il y aura en n, une fina­lité à cette his­toire d’horreur, ven­due pour­tant comme une his­toire d’amour et d’unité à la base. Enfin nous pour­rons tour­ner la page. Ils pré­ten­daient vou­loir faire une chaîne humaine autour du monde et c’est exac­te­ment ce qui se passe en ce moment par l’unité de ce recours contre eux. Plus de 650 vic­times se tiennent la main main­te­nant pour aller au bout de cette affaire et ce n’est pas terminé.

Le fait que les inves­tis­seurs ne se connais­saient pas et ne com­mu­ni­quaient pas ensemble ser­vait très bien leur cause en leur don­nant toute la flexi­bi­lité de varier leurs innom­brables ver­sions des faits et c’est ce que nous avons réglé avec le site de lova­ganza-scan­dal. Ce site se veut un point cen­tral d’échanges et d’informations concer­nant les pro­cé­dures judi­ciaires, des témoi­gnages des vic­times, le pro­fils des per­son­nages clés, l’organigramme de leur struc­ture finan­cière et d’opération, etc. Notre objec­tif est de faire sor­tir toute l’information dis­po­nible auprès des vic­times et de les sor­tir de leur iso­le­ment créé par la honte d’avoir cru en ce pro­jet et les ins­ti­ga­teurs. Aujourd’hui, plu­sieurs craignent encore leur repré­sailles ou ont trop investi pour recu­ler: « Si je me joins au recours, je vais tout perdre ce que j’y ai investi? » C’est dif­fi­cile à dire, car c’est tou­jours un choc à entendre, mais la réponse est que vous l’avez déjà perdu… C’est pour cette rai­son que le recours que nous met­tons en place prends tout son sens.

La for­ma­tion offi­cielle de notre regrou­pe­ment nous per­met de pas­ser léga­le­ment aux pro­chaines étapes, soit: (1) Le dépôt d’un col­lec­tif de plaintes pour des accu­sa­tions de fraudes au cri­mi­nel, qui s’ajouteront aux 247 chefs d’accusations en crimes finan­ciers de l’AMF et (2) Un dépôt de plaintes en recours col­lec­tif envers les ins­ti­tu­tions finan­cières qui ont fait preuve d’aveuglement volon­taire dans leurs par­ti­ci­pa­tion à cette fraude.

Nous invi­tons les inves­tis­seurs qui se sentent mena­cés de ne pas être rem­bour­sés par les accu­sés et qui se ques­tionnent sur cette his­toire à se joindre et com­mu­ni­quer avec nous.

Merci aux col­la­bo­ra­teurs de longue date et aux nou­veaux arrivants.

On se revoit bien­tôt pour les der­nières phases du recours,

 

Jean-Fran­çois Simard
Pré­sident et ini­tia­teur du recours col­lec­tif. Rédac­teur concep­teur du site Lovaganza-scandal.com et ses réseaux sociaux.

 


*Men­tion légale: Par sou­cis de pro­tec­tion, ce texte est un résumé d’une enquête per­son­nelle appro­fon­die et d’expériences vécues et recueillies par Jean- Fran­çois Simard auprès des frau­deurs et des vic­times qu’il a tout deux côtoyés de près. Le tout est un point de vue per­son­nel qui pour­rait ne pas reflé­ter entiè­re­ment ou par­tiel­le­ment l’opinion ou la vision de tous les membres du Regrou­pe­ment des vic­times de l’affaire Lova­ganza et One-Land, et/ou des autres vic­times et investisseurs.