Ils demandent la fermeture de nos site et page facebook parce que c'est devenu trop stressant et difficile pour eux de continuer leurs opérations criminelles!

karine Lamarre Marc Éric fortin - Cannes

25 mars 2020

Ils demandent la fer­me­ture de nos site et page face­book parce que c'est devenu trop stres­sant et dif­fi­cile pour eux de conti­nuer leurs opé­ra­tions criminelles!

Aujourd'hui, 25 mars, j'ai reçu une demande avec menace de pour­suite ulté­rieures avec récla­ma­tions pécu­niaires pour faire fer­mer notre site de lovaganza-scandal.com. D'abord, nous tenons à dire que nous pren­drons au sérieux la requête même si elle sera contesté en bloc, sans aucunes inquiétudes.

Le comble est qu'ils veulent des com­pen­sa­tions pour le stress causé par notre asso­cia­tion. Il faut quand même battre des records d'égo­cen­tri­cité pour se sou­cier de son petit stress alors qu'ils ont envoyé des gens à la rue, d'autre en inter­nat et vidés les réer des gens qui ont cru leurs men­songes. Ils ont recueilli des fonds illé­ga­le­ment au nom d'un pro­jet glo­ba­le­ment appelé Lova­ganza pen­dant près 5 ans, pour lequel aucune nou­velle n'a été donné depuis et que rien ne s'est concré­tisé au sujet de ce pro­jet. Ils ont pré­féré chan­ger le nom pour « Je vois la vie comme ci » et se concen­trer sur des demandes d'investissements pour conti­nuer à faire entrer de l'argent plu­tôt que d'essayer de mettre au jour un réel pro­jet.  Nous atten­dons avec impa­tience le pro­chain nom de leur futur faux pro­jet. Leurs effron­te­ries sont vrai­ment sans limites.

Ils y vont d'accusations far­fe­lues pour jus­ti­fier leur pro­cé­dure qui sera évi­dem­ment débat­tue en cours. On y parle de dif­fa­ma­tion et de mul­tiples autres accu­sa­tions, mais quand nos énon­cés sont vrais et asser­men­tés, on est plu­tôt dans la vérité que la dif­fa­ma­tion. Bizar­re­ment, le docu­ment reçu se veut tel­le­ment inti­mi­da­teur qu'il ne semble pas avoir été rédigé par un avo­cat, ou un encore un avo­cat avec peu d'expérience. C'est dou­teux, car on y voit la plume de Karine Lamarre aux tra­vers des textes. Les docu­ments ne sont pas d'un niveau juri­dique réel où tout est axé sur le désir de faire peur.

D'ailleurs, après consul­ta­tion juri­dique, la conclu­sion est claire qu'il ne s'agit que d'un exer­cice d'intimidation et qu'ils se sont tiré dans le pied avec leur mise en demeure. La rédac­tion du docu­ment est clai­re­ment sujette à des sanc­tions du Bar­reau du Qué­bec pour l'avocat qui a signé ce docu­ment et bien des cas ont déjà été sévè­re­ment puni par le conseil de dis­ci­pline de cet ordre pro­fes­sion­nel des avo­cats du Qué­bec. Iro­ni­que­ment, le désir de vou­loir inti­mi­der semble direc­te­ment lié aux der­niers articles que nous avons publié sur les luxueuses demeures qu'ils se paient sur le dos des sup­po­sés « inves­tis­seurs » et les Aven­tures (jamais si bien for­mulé) de JF&G sur les capi­taux de risques que j'ai pris plai­sir à cari­ca­tu­rer dans mes der­niers visuels.

Éga­le­ment, la remise du docu­ment à ma per­sonne s'est fait de façon théâ­trale et mal­ha­bile. Un faux taxi uber qui demande un nom qui res­semble au mien, Jean-Fran­çois bla­mu­part!? ..en son­nant à toutes les adresses pour faire ouvrir la porte à dis­tance. (Alors qu'un vrai uber, sait le nom exact du client à cause de l'application néces­saire à la demande du ser­vice). Ensuite deux hommes entrent, un homme qui a plus l'air d'un livreur de pizza que d'un Huis­ser me remet une enve­loppe non cacheté et sans logo d'entreprise en disant qu'il n'y a pas besoin de signa­ture à cause des pro­cé­dures du Corona virus.  Sans aucun bon de récep­tion et autres pièces d'identités comme le font les Huis­siers normalement. 

Étant sur le point d'entrer dans la douche, je n'attendais pas de visite. J'ai donc pris les pre­miers vête­ments sur le bord pour répondre à la porte. Éton­nam­ment, le faux chauf­feur de taxi sem­blait plu­tôt être en train de me fil­mer ou de me prendre en photo en fai­sant sem­blant de véri­fier son télé­phone, comme s'il cher­chait le nom du client. Évi­dem­ment, j'ai com­pris que Karine et Marc-Éric For­tin vou­laient m'intimider (ce qui ne fonc­tionne pas du tout) en me démon­trant qu'ils savent où je demeure, ce qui n'est pas un secret pour per­sonne, contrai­re­ment à eux qui se cache de tout depuis des années. Virus ou non, de vrais docu­ments légaux exigent une signa­ture, des papiers en bonne et due formes et originaux.

Tout cela démontre bien qu'ils ont dans leur ADN, le besoin constant de vou­loir inti­mi­der et faire des menaces quand ils sentent la soupe chaude, contour­ner les règles et pas­ser par la porte arrière et tout faire pour arri­ver à leur fins. Ce sont des ama­teurs rem­pli d'argent reçu par de fausses repré­sen­ta­tions et par des moyens dolo­sifs, qui se cachent der­rière des bri­gades d'avocats pour conti­nuer leur recette gagnante à contour­ner le sys­tème de jus­tice, de l'AMF et des pro­cé­dures inten­tées contre eux.

Ils insi­nuent éga­le­ment que d'informer les gens par le biais du site et de la page face­book n'est pas d'intérêt public, alors que nous croyons à juste titre, que nous avons épar­gné à bien des gens de tom­ber dans le pan­neau de leurs pro­jets qui ne sont que poudre aux yeux pour sou­ti­rer de l'argent à des inves­tis­seurs débu­tants et non aver­tis. À tous ces gens, nous les invi­tons à nous écrire pour nous dire à quel point ils ont failli se faire avoir, si ce n'était pas de notre site qui sort avant les leurs dans les moteurs de recherche.

Nous croyons éga­le­ment impor­tant de conti­nuer à assu­mer cette pro­tec­tion auprès du public et de plus de 130 vic­times offi­ciel­le­ment plai­gnantes. On ne parle pas de 3 ou 10 per­sonnes, mais plus de 100.. On dit qu'il n'y a pas de fumée sans feu, mais quand il y a un tel smog et que plus per­sonne n'y voit rien, on parle plus d'un incen­die majeur.

La plus grande iro­nie dans le docu­ment, est qu'ils men­tionnent être: 

[..des gens d'affaire res­pec­tés au niveau international..]


Pre­miè­re­ment, pour être une per­sonne d'affaire, il fait être capable de réa­li­ser un pro­jet qui génère un pro­fit quan­ti­fiable. Deuxiè­me­ment, le res­pect se mérite et ne s'autoproclame pas. Et troi­siè­me­ment, com­men­cez par être res­pec­table dans votre cour au Qué­bec et on verra pour l'appellation inter­na­tio­nal. C'est pas parce que vous réus­sis­sez à vous mettre à dos vos four­nis­seurs à l'étranger qu'on parle de réus­site et de res­pec­ta­bi­lité. Ça me rap­pelle un cer­tain per­son­nage far­felu, qui illustre bien leur pro­file psy­cho­lo­gique sur l'idée et l'image qu'ils se font d'eux-même…

On vous laisse en juger par vous même sur cet essai d'intimidation raté de leur part.