Histoire de marionnettes sous l'emprise d'un homme amer d'avoir raté son rêve de devenir une star. // A puppet story under the grip of a bitter man who missed his dream of becoming a star. JF&G's Adventures:, Je Vois La Vie Comme Ci, The Musicals Instrumental Themes, www.jfgcompany.com, Lovaganza 2015, Lovaganza 2020, The Lovaganza Convoy, The Lovaganza Foundation, www.lovaganza.com, The Markare Company, LLC, 4 Stars Group, Momentum Records, Momentum E. Productions: www.mep.world, THE JF&G COMPANY, JF&G, JF&G RECORDS, JF&G Pictures LLC, J.F. Gagnon, Jean-François Gagnon, Geneviève Cloutier Gagnon, Fer Rouge Creative Company, Helian Way Films, MARKARE, Karine Lamarre, Karine Fortin, Karine L Fortin, Mark-Erik Fortin, Marc-Éric Fortin, Mathieu Carignan, Matt Carignan, Marie-Ève Malherbe, Marie Malherbe, Louise Larente, Maurice Lalonde, SURVEILLÉS PAR:, AMF: Autorité des marchés financiers, Securities and Exchange Commission (AMF-USA), Sûreté du Québec, SPVM, www.Lovaganza-Scandal.com, AUTRES CIES:, Oneland, One-land, Oneland World, Sunshine Way Management, Safe Passage Entertainment, Road One Entertainment, Jean-Francois Gagnon - "JF", Genevieve Gagnon - "G"

JF est le maître de cette fraude depuis 2008.. Cocaïne, mal­trai­tance et men­to­rats pour mieux mani­pu­ler et sou­ti­rer de l'argent..

! Impor­tant: Dans ce témoi­gnage, il s'agit de Karine Dépa­tie (1ère conjointe chro­no­lo­gique de Marc-Éric For­tin dans l'histoire) et non de Karine Lamarre (2e conjointe et actuel­le­ment mariée à ce der­nier.) Cer­tains élé­ments ont été reti­rés pour pro­té­ger vic­times et enfants.

[DÉBUT DU TÉMOIGNAGE TRONQUÉ]

« JF et Gene­viève ont com­mencé à pré­pa­rer leurs plans à Knowl­ton autour de 2008. Ils ont mani­pulé Marc et Karine parce que JF a essayé d'avoir une car­rière dans la musique, mais l'a rui­née avec la cocaïne.

Ils sont des mani­pu­la­teurs qui ont même com­mencé un men­to­rat pour encore mieux contrô­ler les gens, afin d'obtenir leur argent. JF et Gene­viève ne s'occupaient pas de leurs enfants. Marc-Éric et karine ont conti­nué, mais si vous consul­tez des psy­cho­logues, leurs conclu­sions diront qu'ils ont été brainwashés.

JF a brain­wa­shé Gene­viève aussi. C'était son idée à lui au départ pour avoir la car­rière qu'il n'a jamais réus­sit à avoir et pour ne pas avoir à retra­vailler chez Bell. Il est le maître de cette fraude. Gene­viève, amou­reuse de lui, est tom­bée dans son piège et est deve­nue comme lui.

Marc-Éric et Karine n'ont pas mangé à leur faim et pen­saient aider le monde entier en cher­chant de l'argent pour les pro­jets de JF Gagnon.

Marc-Éric et Karine ont souf­fert comme tout le monde. Marc a essayé de se reti­rer plu­sieurs fois et JF l'a mani­pulé en lui don­nant un pour­cen­tage, parce qu'avant il n'avait rien. Il devait tra­vailler et inves­tir, en même temps que de trou­ver des investisseurs.

Ne blâ­mez pas les inno­cents. JF est un humain hor­rible. Les enfants ont besoin de leur mère. Il n'a fait que du mal à sa famille et amis uni­que­ment pour le bien de sa propre célébrité.

J'étais là, Gene­viève était dégoû­tée. J'ai eu mal pour Marc plu­sieurs fois de voir à quel point JF le trai­tait comme un épais. »

[FIN DU TÉMOIGNAGE TRONQUÉ]

– Vic­time ano­nyme du groupe de Lova­ganza – One-Land – JF&G.

[COMMENTAIRE SUR CE TÉMOIGNAGE]
«
Bien que nous devons faire la lumière sur ces pro­pos, j'ai per­son­nel­le­ment été témoin direc­te­ment et indi­rec­te­ment des grandes frus­tra­tions de Marc-Éric For­tin à l'endroit de Jean-Fran­çois Gagnon, à plu­sieurs reprises, lorsque j'ai tra­vaillé à temps plein, de bonne foi et sans savoir que c'était une fraude à l'époque, pour les pro­jets de JF&G, Lova­ganza et One-Land.

Il était sou­vent en colère de consta­ter (le mot est faible.) qu'il devait se taper tout le tra­vail de col­lectes de fonds et de voir Jean-Fran­çois et Gene­viève Clou­tier Gagnon en pro­fi­ter et faire la grosse vie, aux tra­vers de voyages et évé­ne­ments pom­peux à tra­vers le monde pour essayer de se bâtir (faus­se­ment) une cré­di­bi­lité d'artistes cou­ron­nés de suc­cès. (ONU, Cannes, etc..)

Avec le recul, cela impres­sion­nait beau­coup les gens aux tra­vers des médias sociaux et aidait gran­de­ment à rendre l'histoire cré­dible auprès des inves­tis­seurs. Marc était frus­tré de les voir dans ces périples majes­tueux, alors que lui, devait res­ter au Qué­bec à patau­ger pour leurs comptes et avoir une vie qu'il qua­li­fiait de minable com­pa­ra­ti­ve­ment à eux. Pour­tant, il vivait bien grâ­ce­ment, dans un uni­vers de mai­sons et voi­tures luxueuses, avec domes­tiques! (notre article à ce sujet)

En près de 12 ans à les obser­ver de près comme de loin, beau­coup trop d'information touchent la cible direc­te­ment sur des faits véri­fiés ou que j'ai vécus, pour dou­ter de ce témoi­gnage concer­nant : les pro­blèmes de drogues et d'alcoolisme de JF qui étaient un secret de Poli­chi­nelle à Bou­cher­ville à la fins des années '90, de mani­pu­la­tion mal­saines à tous niveaux, de men­to­rat tant dou­teux que mys­té­rieux, de recherche insa­tiable de vedet­ta­riat, et fina­le­ment, de la chute de sa car­rière musi­cale pour­tant pro­met­teuse. Choses dont j'ai aussi été témoin.

Ce nou­veau témoi­gnage est très per­ti­nent, car il donne enfin des réponses logiques et qui font beau­coup de sens sur l'origine (auteurs) et sur les moti­va­tions (mobile) de ce crime finan­cier qui a eu des consé­quences désas­treuse sur énor­mé­ment de gens.

Après toutes ces années d'enquêtes, on voit et com­prend la façon dont JF s'est pro­tégé en fai­sant faire le tra­vail dif­fi­cile et dan­ge­reux léga­le­ment par les autres (Marc, Karine, Mathieu, et autres nom­breux dis­ciples), pour se concen­trer sur ses plai­sirs artis­tiques et voya­ger à tra­vers le monde, dans les plus beaux et dis­pen­dieux hôtels de la pla­nète, avec des délé­ga­tions de domes­tiques et les conjoint(e)s de ceux-ci, aux frais des inves­tis­seurs qui ne pou­vait pas voir et com­prendre l'image (big pic­ture) dans son ensemble.

Il se pro­té­geait de façon légale avec des entre­prises (LLC au Dela­ware, USA), bien dis­tinctes de celles de Marc (incor­po­rées au Canada), afin de cou­per au maxi­mum les liens et seg­men­ter les pour­suites éven­tuelles. En ajou­tant l'aspect cor­po­ra­tif "canado-amé­ri­cain", cela com­plexi­fiait de beau­coup les enquêtes et pro­ces­sus judi­ciaires. (notre article à ce sujet)

Même dans les bureaux, beau­coup d'énergie était appli­quée pour faire dis­tin­guer clai­re­ment et régu­liè­re­ment les deux clans. Les "Finan­ciers" d'un côté (Mar­Kare) et les "Créa­tifs artis­tiques" de l'autre (JF&G). Marc récol­tait l'argent au nom de One-Land et JF rece­vait l'argent de Marc sous Fer Rouge LLC et aux tra­vers de diverses com­pa­gnies écrans aux archi­tec­tures com­plexes. (Détails en pdf)

C'était brillant d'un côté stra­té­gique pour un cri­mi­nel, mais exé­crable sur le côté humain. Sur­tout quand on exploite jus­te­ment le côté humain, d'une cou­ver­ture d'innocence et presqu'intouchable d'un pro­jet de fon­da­tion pour sau­ver les enfants du monde, avec pho­tos de visite à l'ONU pour maquiller et cré­di­bi­li­ser leurs démarches.

Je me sou­viens aussi que JF&G avaient tenté de me vendre une entre­prise en 2008–2009 que Gene­viève avait créé : "Une dou­doux pour la vie". Ils demeu­raient encore à Knowl­ton dans les cantons-de‑l'Est à cette époque et disaient vou­loir vendre le concept pour se concen­trer sur un plus gros pro­jet inter­na­tio­nal, qui devien­dra par la suite "Lova­ganza". C'était encore une fois lié à des pro­messes de bons soins auprès des enfants. Par chance, je n'avais jamais donné suite à cette offre dont le concept n'était pas suf­fi­sam­ment convain­quant. Ils ont visi­ble­ment appris et amé­lioré leur concept par la suite, puisque je me suis mal­heu­reu­se­ment fait prendre dans cette fraude de JF&G.

Ce que je trouve impor­tant éga­le­ment dans ces infor­ma­tions, c'est qu'elles enté­rinent ce qu'on essaie de faire com­prendre aux nom­breuses per­sonnes qui nous contactent à leur sujet en n'étant pas cer­tains s'ils devraient inves­tir là-dedans. Comme s'il n'y avait pas assez d'informations et de preuves dans les médias, sur notre site, ainsi que celui de l'AMF que ces pro­jets et per­sonnes-là ne sont pas fiables, mais plu­tôt suf­fi­sam­ment dan­ge­reuses pour pen­ser y inves­tir ne serait-ce que 5¢.

Il est stu­pé­fiant de les voir se pava­ner sur les réseaux sociaux en relayant des paroles, pen­sées et cita­tions phi­lo­so­phiques sur le bon­heur et la vie, alors qu'en réa­lité, ils sont tout le contraire de ce qu'ils pré­tendent, comme le prouve encore ce genre de témoi­gnage qui n'en est qu'un parmi des centaines.

Ils ne res­pectent abso­lu­ment aucune loi et se fichent éper­du­ment de leurs pro­cès, qui glissent sur eux comme l'eau sur le dos d'un canard. En cour, ils vont même jusqu'à men­tion­ner qu'ils ont des choses plus impor­tantes à faire que de s'occuper de leur pro­cès. Faut le faire !
(voir pro­cès ver­bal – Point #83

Il faut être soli­de­ment endoc­triné pour ne pas se dire à un moment donné ; "Ok, on a fait des erreurs, qu'est-ce qu'on peut faire pour redres­ser les choses et agir léga­le­ment afin de res­pec­ter et pro­té­ger les per­sonnes qui ont investi en nous et nos pro­jets." Visi­ble­ment, leur désir d'être bons citoyens, cor­po­ra­tif ou humain, ne fait aucu­ne­ment parti de leur aspirations.

Non seule­ment aucune démarche ou paroles n'a été faite de leur part en plus de 6 ans de sagas judi­ciaires pour démon­trer qu'ils veulent agir de façon res­pon­sable, légale et pro­fes­sion­nelle, mais ils en ajoutent encore davan­tage pour creu­ser leur culpa­bi­lité en riant au visage du monde légal de la finance et en se sau­vant un peu par­tout, autour du globe pour se cacher des ins­ti­tu­tions et de leurs res­pon­sa­bi­li­tés. Ils s'amusent à se la jouer à la "Thelma et Louise" et à la "Catch me if you can".
(notre article à ce sujet)

Dans leur esprit de conti­nuer leur fraude sans égards et sans conscience de la réa­lité dans laquelle ils sont, sans conscience des drames humains qu'ils causent aux gens, en plus des dom­mages col­la­té­raux, ils pro­fitent mal­heu­reu­se­ment de la len­teur du sys­tème et de la pan­dé­mie pour conti­nuer à œuvrer en toute connais­sance de cause, et même si des peines de pri­son leur pendent au bout du nez depuis des années. Ils nous indiquent clai­re­ment qu'ils ont besoin que quelqu'un les arrêtes, car tous leurs faits et gestes indiquent qu'ils ne s'arrêteront jamais, peu importe les consé­quences légales et morales.
(voir pro­cès ver­bal – Point #76)

Au final, mal­gré toute la situa­tion, ils conti­nuent quand même aujourd'hui à sol­li­ci­ter des gens à inves­tir dans leur élé­phant blanc. Cer­taines per­sonnes pré­fèrent croire leurs sor­nettes et que notre site serait une espèce de ven­detta per­son­nelle alors que nous ten­tons uni­que­ment d'informer les gens de faire atten­tion à eux, car ils ne rever­ront jamais leur argent. C'est assez stu­pé­fiant de voir qu'ils sont encore libres d'agir, après autant d'années et autant de méfaits connus aux yeux de toute auto­rité confon­due et c'est pour ça que nous exis­tons, car les auto­ri­tés manquent de moyens et de son­nettes d'alarme pour infor­mer et pro­té­ger le grand public convenablement.

Le plus grand rêve de lovaganza-scandal.com et du regrou­pe­ment est d'éventuellement fer­mer son propre site ! Car cela vou­dra dire que nous n'auront plus à avoir ce man­dat moral de vou­loir com­plé­ter les efforts des auto­ri­tés et des médias pour infor­mer adé­qua­te­ment le grand public qui conti­nue depuis trop d'années à tom­ber dans leurs pièges et fausses repré­sen­ta­tions. (Fausse repré­sen­ta­tions - PDF – Isa­belle Ducas – LaPresse)

Ce qu'il faut bien com­prendre, c'est que les gens du groupe Lova­ganza et de JF&G, sont beau­coup plus puis­sants que les auto­ri­tés, avec leur indif­fé­rence, leur maî­trise de la mani­pu­la­tion et leurs bri­gades d'avocats sub­ven­tion­nés par le fruit de leurs acti­vi­tés cri­mi­nelles, qu'une simple men­tion à leur sujet, per­due et diluée dans le site de l'AMF ou d'un article de presse, pour réus­sir à frei­ner ce can­cer social-éco­no­mique qui sévit dans notre société, aux yeux et sus de tous depuis plus d'une décennie.

Mal­heu­reu­se­ment, les auto­ri­tés judi­ciaires et de l'AMF sont menot­tés par des lois désuettes, les contraintes d'horaires du monde judi­ciaire et par le manque d'effectifs qui les empêchent d'agir adé­qua­te­ment et rapi­de­ment. Ils sont mal­heu­reu­se­ment mal outillés en ce moment, pour faire face à ce genre de fraude dans ce nou­veau monde effréné, où le web domine la vie des gens. Hon­nê­te­ment, mis-à-part les spé­cia­listes de la finances, qui consulte vrai­ment le site de l'AMF dans la vie?, si ce n'est que des vic­times qui auront com­pris trop tard qu'ils ont subie une fraude. Nous croyons qu'il est impé­ra­tif que les auto­ri­tés inves­tissent davan­tage dans la pré­ven­tion, dans un effort beau­coup plus média­tique, et sur­tout, là où les gens et les cri­mi­nels se retrouvent ; c'est-à-dire sur face­book et à l'intérieur du far-west d'un web qui faci­lite et contri­bue gran­de­ment à l'essor de la fraude depuis les der­nières années.

Le sys­tème regarde donc ces cri­mi­nels conti­nuer leurs méfaits en toute connais­sance de cause et sachant que d'autres vic­times en paient le prix encore tous les jours en cette date d'aujourd'hui. Rap­pe­lons que l'AMF a émis son pre­mier aver­tis­se­ment en 2014, il y a 7 ans et ils opèrent tou­jours. Ils se font voler les éco­no­mies de toute une vie, ils se font voler le tra­vail de toute une vie, ils se font donc voler toute leur vie.

Nous sommes loin d'un vol de dépan­neur à 100$ et pour lequel les cri­mi­nels se retrouvent pour­tant, en 2 temps 3 mou­ve­ments, sous les ver­rous. On parle bien d'une fraude, à ce jour, de plus de 12 mil­lions, (8,5M en 2019) et ce mon­tant est très conser­va­teur et natu­rel­le­ment sous-estimé, puisque que ces cri­mi­nels ne nous envoient évi­dem­ment pas de bilans pour nous infor­mer des mises à jour de leurs livres comptables!

Nous croyons qu'il est plus que grand temps que cette saga connaisse enfin sont dénoue­ment pour que la société puisse enfin s'en assai­nir et que l'ensemble des vic­times puissent elles aussi enfin, tour­ner la page de ce qui les a détruit finan­ciè­re­ment dans un pre­mier temps et humai­ne­ment dans un deuxième.

Vous savez, lova­ganza-scan­dal a investi beau­coup d'années et pris beau­coup de risques pour ten­ter de bien infor­mer et de pro­té­ger le public. Ce fût une réus­site, en col­la­bo­ra­tion avec le B.U.C.C, car bien du monde se sont rete­nus d'investir dans cette affaire-là, suite à la consul­ta­tion de notre site et de nos inter­ven­tions béné­voles sur leurs craintes, déses­poirs, doutes et pertes de leurs moyens face à cette situa­tion désastreuse.

Nous invi­tons main­te­nant, plus que jamais, les vic­times, et même ceux qui ont réus­sit à évi­ter leurs pièges, à se mani­fes­ter sur nos sites et médias sociaux, pour nous envoyer vos mes­sages de soli­da­ri­tés et contri­buer à ce que ce cau­che­mar inutile et dan­ge­reux cesse d'opérer.

Mani­fes­tez-vous confi­den­tiel­le­ment par ici: lovaganza-scandal.com/contact  | ou com­men­tez publi­que­ment sur notre page facebook

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JEAN-FRANÇOIS SIMARD
Ex-employé et inves­tis­seur fraudé de One-Land (Lova­ganza). Ini­tia­teur du recours col­lec­tif et admi­nis­tra­teur du site et médias sociaux de Lovaganza-scandal.com.