Bande-annonce du docu­men­taire: LOVAGANZA – LA GRANDE ILLUSION dis­po­nible. Vrai pro­pose une bande-annonce qui en dit long et qui donne le ton sur l'histoire de cette saga de fraude qué­bé­coise de Lova­ganza, dont le nom s'est trans­formé en Je vois la vie comme ci et Ter­ra­di­sio au fil des années.

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Un docu­men­taire sur la saga de Lova­ganza a été annoncé: LOVAGANZA – LA GRANDE ILLUSION raconte la mésa­ven­ture finan­cière d’un couple de Qué­bé­cois à Hol­ly­wood. Un docu­men­taire qui sera des plus inté­res­sant et per­ti­nent à voir puisqu'il semble être éga­le­ment l'élément phare du lan­ce­ment des nou­veau­tés de la nou­velle pro­gram­ma­tion de la pla­te­forme – Vrai

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Le per­son­nage du gou­rou Jean-Simon (l'Échappée – TVA), sous une appa­rence de bien­veillance avec l'aide d'outils psy­cho-cog­ni­tifs, réus­sit à prendre un mal­sain contrôle des per­sonnes de son entou­rage pour en tirer des béné­fices per­son­nels, finan­ciers et stra­té­giques pour assu­rer le pro­lon­ge­ment d'une quête per­son­nelle tor­due aux consé­quences dramatiques.

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L'honorable-juge-France-Charbonneau-lovaganza-Karine-Lamarre-et-Marc-Eric-Fortin

Repoussé au 16 décembre, la Juge Char­bon­neau entre en scène pour leur requête à la cour suprême de chan­ger de juge. Cette der­nière a notam­ment eu une hausse de noto­riété pour avoir été impli­quée dans des pro­cès publics connus, tels : la Com­mis­sion Char­bon­neau ainsi que le pro­cès de Mau­rice «Mom» Bou­cher, entre autres.. À suivre..

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Après d’innombrables délais, alors qu’ils ont plaidé cou­pable il y a près de quatre ans à 79 chefs d’accusation, les col­lec­teurs de fonds du pro­jet Lova­ganza, Mark-Érik For­tin et Karine Lamarre, ont déposé mardi une nou­velle requête qui retarde le pro­ces­sus judiciaire.

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Sept ans après avoir été mise à jour par l’Émission J.E, l’arnaque du pro­jet Lova­ganza a vu deux de ses pro­ta­go­nistes reve­nir en cour, lundi. 

Marc-Éric For­tin et son épouse Karine Lamarre ont plaidé cou­pable à 79 chefs d’accusation liés aux lois enca­drant les inves­tis­se­ments. Quatre ans plus tard, le pro­cès n'est tou­jours pas fini. Lundi, le juge Marc Bis­son peine à dis­si­mu­ler son impa­tience. Ce der­nier estime que les accu­sés mul­ti­plient les stra­té­gies pour ralen­tir les procédures.

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