26 février 2021

Panique et dés­in­for­ma­tion chez nos fraudeurs.

Bon­jour à tous,

Suite à un cour­riel dif­fa­ma­toire et men­son­ger qui a été envoyé au nom de Karine Lamarre et Marc-Éric For­tin dans les der­niers jours, et même si leurs répu­ta­tions de mani­pu­la­teurs et anr­na­queurs dépasse nos fron­tières, il deviens quand même impé­ra­tif de remettre quelques pen­dules à l'heure.

 

Je vais donc répondre publi­que­ment à leur mes­sage avec mes com­men­taires en bleu.

LA VRAIE HISTOIRE DE JEAN-FRANÇOIS SIMARD ENFIN RÉVÉLÉE

Chers prê­teurs,

Les efforts achar­nés des défen­deurs pour réa­li­ser ce pro­jet seront contre­car­rés par des inter­ve­nants mal­veillants, plus atta­chés à détruire et à anni­hi­ler qu’à bâtir et à créer; plus prompts à y voir une fraude monu­men­tale et à tour­ner en déri­sion la soli­da­rité du groupe de prê­teurs, voire même les dépeindre comme secte, que de consta­ter le carac­tère gran­diose pour le Qué­bec de cette ini­tia­tive entre­pre­neu­riale venant de « chez nous ».

Cet extrait de la requête en arrêt de pro­cé­dures que nous avons dépo­sée à la Cour du Qué­bec le 2 décembre der­nier contre les pour­suites inten­tées contre nous par l’Autorité des mar­chés finan­ciers (AMF) résume extrê­me­ment bien ce que nous avons tra­versé depuis les dix der­nières années afin de mener à sa réus­site le pro­jet d’une vie. Vous trou­ve­rez éga­le­ment joint à ce mes­sage le contenu inté­gral de la requête dépo­sée à titre de requé­rants avec la liste des 90 pièces rete­nues et pro­ve­nant à même l’enquête pénale menée par l’AMF.

*Notez que ce sont des pro­pos tenus de leurs part et non un juge­ment porté par un juge. Donc, n'importe qui peut invo­quer n'importe quoi dans une requête (demande) lors d'une pro­cé­dure judiciaire.

 

PRENEZ LE TEMPS DE LIRE LA REQUÊTE EN ARRÊT DE PROCÉDURES SI VOUS VOULEZ TOUT SAVOIR SUR LA VÉRITÉ DE CE QUE NOUS AVONS SUBI DEPUIS 2012.

Ce com­mu­ni­qué a pour but de vous résu­mer les faits détaillés conte­nus dans cette requête pour vous per­mettre d’enfin pou­voir juger, en toute connais­sance de cause, des faits, en dis­tin­guant ce qui est vrai de ce qui est purs men­songes et manipulation.

*Notez que men­songes et mani­pu­la­tion sont la spé­cia­lité de ce groupe de frau­deurs. Ils ont le droit de dire ce qu'ils veulent, car ils ont peur de se retrou­ver en pri­son, mais tout ce qui est révélé sur Lovaganza-scandal.com est docu­menté et véri­fié avec preuves écrites, vidéo, légale et concrètes. Donc aucune inquié­tude de notre côté à tout point de vue sur ce que nous véhiculons.

 

Pour nous, le temps est venu d'exposer la vérité dont vous avez été pri­vés par ces inter­ve­nants mal­veillants. Une vérité que nous avons expo­sée aux tri­bu­naux depuis l'automne der­nier pour que, pour le bien de tous, la lumière soit faite sur leurs agis­se­ments des­truc­teurs à l'égard de notre pro­jet et qu'ils soient sanc­tion­nés par la loi.

Notre ardent désir est que les tri­bu­naux constatent à quel point l'action de ces inter­ve­nants a été cho­quante pour que jamais plus des entre­pre­neurs du Qué­bec n'aient à subir les actes mali­cieux et mal­hon­nêtes que nous avons endu­rés les sept der­nières années pour mener notre pro­jet à sa réussite.

*Qu'ils veulent se prendre pour des Cirques du Soleil est bien louable, mais mal­heu­reu­se­ment, rien ne s'approche d'un quelqu'onque pro­jet de réa­lisé entre 2011 et 2021. Nous avons un grand res­pect pour la fibre entre­pre­neu­riale, mais cet aspect est un écran de fumée pour mas­quer habi­le­ment leurs réelles acti­vi­tés et intentions.

 

Après plus de quatre ans sans com­mu­ni­ca­tion trans­mise à l’ensemble des per­sonnes qui nous ont sou­te­nus à un moment ou un autre et qui ont eu rai­son de croire en la vision uni­fi­ca­trice de notre pro­jet, nous sommes sin­cè­re­ment déso­lés que vous ayez été affec­tés par cette pro­pa­gande mal­veillante et ces inter­mi­nables actions mani­pu­la­trices et méchan­ce­tés gra­tuites dont nous avons été la cible.

Ces actions injus­ti­fiables ont été posées par quelques indi­vi­dus dont cer­tains nous étaient chers à l’époque et qui ont fait tout ce qui était humai­ne­ment pos­sible pour faire échouer la réus­site du pro­jet auquel vous avez eu rai­son de croire et de participer.

*Nous ne sommes pas contre la réa­li­sa­tion de pro­jets. Seule­ment contre les fausses repré­sen­ta­tions illé­gales et actes com­mer­ciaux illégaux.

 

Peu importe la per­cep­tion que vous avez pu avoir de nous, peu importe celle que le public en géné­ral s’est faite de nous par le mes­sage déni­grant qui a été véhi­culé par les médias, la page Face­book du regrou­pe­ment des vic­times et le site de « scan­dale » pré­paré par Jean-Fran­çois Simard, nous avons pour­suivi posi­ti­ve­ment nos efforts en gar­dant notre focus sur l'essentiel : hono­rer la pro­messe d’amener le pro­jet à sa réus­site et bien entendu, la pro­messe qui a tou­jours guidé nos actions dans les meilleures inten­tions, avec per­sé­vé­rance, déter­mi­na­tion et rési­lience, de vous rembourser.

*Pro­mettre un rem­bour­se­ment est super. Le pro­mettre et l'annoncer en grande pompes aux 3 mois depuis 2014 est une preuve de leur incom­pé­tence à gérer leurs dos­sier et pro­jets. Quand ça fait plus de 7 ans qu'on pro­met quelque chose sans concré­ti­ser ses pro­messes, il n'existe plus de notion de confiance, mais plu­tôt d'escroquerie. C'est pour cette rai­son que des démarches judi­caires ont été entreprises.

 

De son côté, com­ment Jean-Fran­çois Simard peut-il encore aujourd'hui se pré­sen­ter comme étant le « porte-parole » du regrou­pe­ment des « vic­times » alors qu’il a lui-même par­ti­cipé comme acteur clé à l’ensemble de nos opé­ra­tions de pro­duc­tion exé­cu­tive jusqu’à sep­tembre 2015 ?

*Effec­ti­ve­ment, je me suis impli­qué dans leur pro­jet de 2012 à 2016 en offrant mon exper­tise pro­fes­sion­nelle à leur ser­vice. Quelques fac­tures on été payées au début de mon impli­ca­tion, stra­té­gie qu'ils uti­lisent avec tous leurs four­nis­seurs, et ensuite, que des demandes de com­pré­hen­sion et des pro­messes non-tenue de vou­loir nous payer un jours. Jamais je n'aurais pu pen­ser à cette époque qu'il pou­vait s'agir d'une orga­ni­sa­tion frau­du­leuse, j'étais un employé. J'étais per­son­nel­le­ment dans une situa­tion finan­cière très confor­table et j'ai été très com­pré­hen­sif et relax sur l'argent qu'ils me devaient à moi et ma conjointe durant plus d'une année. Nous avons obte­nus approxi­ma­ti­ve­ment 10% de notre salaire pen­dant la der­nière année, et c'est une des rai­son qui nous a fait quit­ter leur élé­phant blanc, après plu­sieurs dizaines de pro­messes récur­rentes non tenues.

 

Dans un sys­tème nor­mal et cohé­rent, Jean-Fran­çois Simard ne devrait-il pas être au pre­mier rang des gens sous enquête par l'AMF plu­tôt que de se cacher sous un faux sem­blant de « vic­time » ? N’est-il pas en train de se payer un passe-droit sur le dos des prê­teurs qui se sont ral­liés à son regrou­pe­ment en pro­fi­tant de leurs inquié­tudes alors que, jusqu'à aujourd'hui, il se vante des man­dats qu’il a réa­li­sés dans le cadre de notre pro­jet sur le site web de son entreprise?

*L'AMF à enquêté sur mes acti­vi­tés et mon impli­ca­tion dans ce pro­jet en 2016 et aucun doute n'a été perçu de leur part quant à quelqu'onque lien avec leurs acti­vi­tés cri­mi­nelles. J'ai été blan­chi com­plè­te­ment et je n'ai rien à me reprocher.

 

La vérité est que moins de 10% d’entre vous, les prê­teurs, se sont joints au regrou­pe­ment de Jean-Fran­çois Simard alors qu’il tente d'obtenir avec achar­ne­ment votre sou­tien depuis 2016. Pour­quoi en 5 ans de sol­li­ci­ta­tion mani­pu­la­trice et har­ce­lante, Jean-Fran­çois Simard est inca­pable de convaincre plus que cette petite mino­rité ? C'est parce que, vous, les prê­teurs, connais­siez très bien la dimen­sion de notre pro­jet et l'importance de le voir abou­tir. Vous ne vous êtes pas lais­sés mani­pu­ler par un indi­vidu dont les seuls inté­rêts sont sa per­sonne et ses gains personnels.

*On a fait un mee­ting de groupe en 2016 et à part de cette réunion, nous n'avons pas consa­cré d'énergie dans aucun recru­te­ment auprès des vic­times. Alors le nombre d'investisseur du recours n'est pas un signe de manque de convaincre qui que ce soit. Ceux qui se sont joint au recours l'on fait par leur volonté.

 

Il faut aussi com­prendre que les vic­times doivent pas­ser par plu­sieurs étapes psy­cho­lo­giques avant d'être capable de se (1) l'avouer à eux-même, (2) l'avouer à son entou­rage, (3) inté­grer que les sommes ver­sées seront per­dus à jamais, (4) vivre avec une tem­pête émo­tive inté­rieur d'un échec per­son­nel. Avec tout cela, il est très dif­fi­cile pour une vic­time, qui a peur de tout perdre l'argent sup­po­sé­ment investi, de chan­ger son fusil d'épaule et conti­nuer à avan­cer. La dou­leur d'être fraudé est tel­le­ment grande que la plu­part cher­che­rons à oublier ce pas­sage mal­heu­reux, parce que trop dou­lou­reux et trop d'impact dans leurs vies. (Argent, famille, amis, car­rière). C'est un cock­tail très lourd à sup­por­ter et tra­ver­ser. On com­prends très bien les vic­times de vou­loir pro­té­ger leur inté­grité émo­tion­nelle et c'est pour­quoi nous n'avons pas fait plus de sol­li­ci­ta­tion auprès d'eux. Nous avons opté pour la trans­pa­rence de mettre en lumière les faits et de lais­ser les gens se faire à leur propre idée.

À cet effet, saviez-vous que le recours col­lec­tif de Jean-Fran­çois Simard intenté en avril 2018 ne visait qu’à obte­nir son propre rem­bour­se­ment per­son­nel de 10 000$, ainsi que des dom­mages-inté­rêts et moraux qu’il aurait soi-disant subis, le tout s’élevant à 162 000$ ? Qu’en aurait-il été de vos rem­bour­se­ments res­pec­tifs ? Saviez-vous éga­le­ment que cette même demande en recours col­lec­tif lui a été refu­sée en février 2020 parce que la Cour supé­rieure l’a reconnu comme étant en conflit d’intérêts ayant œuvré à nos côtés de manière active pen­dant plu­sieurs années en par­ti­ci­pant direc­te­ment à la pré­pa­ra­tion et trans­mis­sion de docu­ments, ainsi qu’à des pré­sen­ta­tions reliées au pro­jet et ce, à des fins de financement ?

*Faux, un recours col­lec­tif le dit par lui-même, "Col­lec­tif". "En groupe". Même qu'au pro-rata, l'argent recueilli par un recours, est dis­tri­bué éga­le­ment entre toutes les vic­times qu'ils aient investi 500$ ou 500 000$. Donc aucun inté­rêt supé­rieur per­son­nel, sinon qu'obtenir jus­tice auprès des vic­times de leurs actes criminels.

 

Dans sa ven­geance per­son­nelle aveugle contre nous, Jean-Fran­çois Simard mène une dan­ge­reuse quête contre l’entièreté du pro­jet et les inté­rêts et le bien des très nom­breux et fiers prê­teurs. Ima­gi­nez un ins­tant le rythme d'avancement de notre pro­jet n'eût été du tra­vail de des­truc­tion de Jean-Fran­çois Simard et des autres inter­ve­nants mal­veillants avec qui il a fait équipe. C'est comme s'ils s'étaient don­nés pour mis­sion de tout faire pour que notre pro­jet ne voit pas le jour, incluant votre remboursement.

*Vic­ti­mi­sa­tion. On est res­pon­sable de nos agis­se­ments et déci­sions dans la vie. Ils ont choisi leurs voies, j'ai choisi la mienne dans la trans­pa­rence. Mettre leurs échecs sur le dos d'un plai­gnant est une rac­cour­cis facile pour défor­mer la réa­lité et s'attirer la sym­pa­thie des dis­ciples qui sont aveu­glés par leurs pro­messe et pro­jet frau­du­leux, tenus et menot­tés par l'argent qu'ils ont déjà investi dans ce pro­jet. La liste des plai­gnant n'est pas consti­tué que d'investisseurs directes, mais bien aussi de tous les four­nis­seurs d'entreprise: bureaux, loca­tifs, en cinéma, hotels, banques, etc.. qui ont été ber­nés par leurs faci­lité à mai­pu­ler, convaincre et vendre leur salade. Ils sont sur ce point, les meilleurs ven­deurs que j'ai croisé dans ma vie.

 

Dès le début de sa cabale, Jean-Fran­çois Simard nous a mena­cés per­son­nel­le­ment durant plu­sieurs mois qu’il détrui­rait tout ce que nous avions construit en nous aver­tis­sant qu’il s’acharnerait sur nous pour les pro­chaines années et qu’il n’avait aucune limite pour ten­ter de nous rui­ner l’existence s’il ne rece­vait pas un mon­tant d’argent. Son « bla­ck­mail » (chan­tage) repré­sente un acte cri­mi­nel, pas­sible d’emprisonnement.

*Faux: j'ai eu une seule dis­cus­sion avec Karine pour lui dire qu'ils ne s'en sor­ti­rons pas comme ça. Je lui ai pro­mis de mettre au jour ce que j'ai décou­vert et c'est ce que je conti­nue de faire. Avec la plus grande trans­pa­rence, je suis prêt à aller devant n'importe quelle cour ou juge et lais­ser les pro­fes­sion­nels de la jus­tice déci­der de ce qui est cri­mi­nel ou non. Per­son­nel­le­ment, j'ai un dos­sier et une exis­tence sans taches, ce qui n'est pas leurs cas. Je n'ai aucune inquié­tude car j'ai l'esprit libre d'avoir com­mis aucune fautes et leurs pro­pos, comme la plus part des autres dans ce texte, sont dif­fa­ma­toires et mensonger. 

 

Jean-Fran­çois Simard a de toute évi­dence ampli­fié très lar­ge­ment la por­tée de son crime en pas­sant à l’action en juillet 2016 avec la sor­tie de son site de « scandale ».

*Dénon­cer n'est pas un crime, mais un devoir citoyen.

 

Notre long silence face à cet achar­ne­ment dévas­ta­teur contre le pro­jet et nous-mêmes démon­trait une chose : notre seule et unique pré­oc­cu­pa­tion a tou­jours été et demeu­rera la réus­site du pro­jet et votre rem­bour­se­ment. Toutes nos éner­gies devaient être et demeu­re­ront consa­crées à cette mission.

*Long silence parce que plus pré­oc­cupé à se cacher à tra­vers le monde et trou­ver des façons de fuir ses crimes et res­pon­sa­bi­li­tés. Nous, on a cher­ché à pro­té­ger le public pour lequel nous leurs sou­hai­tons de ne jamais vivre ce que nous avons vécu et perdu financièrement.

 

Très récem­ment, nous avons subi des assauts d'une grande vio­lence de la part de Jean-Fran­çois Simard et des autres inter­ve­nants mal­veillants. Nous pen­sons qu'ils sont pani­qués par la vérité que nous avions com­mencé à expo­ser devant les tri­bu­naux depuis l’automne dernier.

*Termes faux et dan­ge­reux qui sug­gèrent des alter­ca­tions phy­siques. (assauts ?). Je n'ai jamais revu ni Karine, ni Marc-Éric depuis mon départ en 2016. Nous n'avons aucune craintes et aucune panique dans ce dos­sier et émis aucune menaces com­pa­ra­ti­ve­ment à eux. J'ai demandé en 2016 de me faire rem­bour­ser et que s'ils ne res­pec­taient pas leur paroles, ententes et contrats, je me ferai un plai­sir de tra­vailler à ce que jus­tice soit faite et que per­sonne d'autre se fasse avoir par eux.

J'ai même men­tionné que je ne repré­sen­tais aucun dan­ger et que seul leurs répu­ta­tions étaient mena­cés et que s'ils ont tout fait pour agir en cri­mi­nel et perdre leur répu­ta­tion, ce n'est pas de ma res­pon­sa­bi­lité, mais bien la leur.

À l'aube d'une sen­tence à être pro­non­cée, où l'AMF ne sug­gère plus un peine de pri­son, mais l'exige, j'ai plu­tôt un sen­ti­ment du devoir accompli.

 

Dans les cir­cons­tances pénibles que nous vivons actuel­le­ment, nous croyons le temps venu de faire état de plu­sieurs élé­ments acca­blants concer­nant Jean-Fran­çois Simard et ses mul­tiples agis­se­ments extrê­me­ment reprochables :

*Notez le très grand nombre de mot de vic­ti­mi­sa­tion dans l'ensemble de son texte (pénible, mal­veillant, pro­pa­gande, mani­pu­la­teur, méchan­ceté, déni­grant, extrême, etc.. Signe qu'on veut vous mani­pu­ler par des termes émo­tifs, plu­tôt que sim­ple­ment men­tion­ner des faits concrêts qui par­le­raient d'eux-même.)

 

- Il a joué les cartes du chan­tage, des menaces, de la mani­pu­la­tion et de l'extorsion en lien avec les fonds qu’il nous avait lui-même prê­tés dans le cadre du finan­ce­ment de nos opé­ra­tions de production;

*J'ai demandé à être rem­boursé, sinon je pren­drais des mesures légales.

 

- Il a lui-même avoué avoir conta­miné et mani­pulé des preuves grâce à ses com­pé­tences avan­cées en concep­tion, design gra­phique et ges­tion informatique/Web;

*Faux. Rien n'a été mani­pulé, ni conta­miné. Infor­mer les gens de faire atten­tion aux pro­pos de Karine Lamarre et Marc-Éric For­tin, est l'unique mis­sion-pré­ven­tive du regroupement.

Avec toutes leurs frasques cri­mi­nelles et ama­teurs, je n'ai nul­le­ment besoin d'ajouter des preuves de quoi que ce soit, ils en pleut des tonnes, c'est donc facile comme pro­ces­sus, nous n'avons qu'à mon­trer les choses et la logique l'emporte. Alors aucun inté­rêt à inven­ter quoi que ce soit, les preuves sont là et gra­tuites et multiples.

 

- Il a uti­lisé, sans notre consen­te­ment, nos marques de com­merces enre­gis­trées et le reste de la pro­priété intel­lec­tuelle de nos diverses socié­tés à des fins frau­du­leuses et diffamatoires;

*J'ai uti­lisé leur logo un cer­tain temps pour que les vic­times fasse le lien entre le nom de la fraude et les frau­deurs. Pour leur part, ils ont uti­li­sés mes ser­vices pro­fes­sion­nels; créa­tions, site web et logos sans les avoir payés. Ils se plaignent donc de m'avoir volé près d'un an de tra­vail et de l'avoir uti­lisé à des fins commerciales.

 

- Il a admis à l’AMF avoir mani­pulé et volé nos biens cor­po­ra­tifs tels que nos sites Web, nos chaînes You­Tube, nos cour­riels, nos mots de passe, ainsi que le contenu glo­bal du ser­veur infor­ma­tique de notre entre­prise au pro­fit de ses propres efforts de des­truc­tion du pro­jet, en y modi­fiant et sup­pri­mant des élé­ments de son contenu;

*Je n'ai rien volé du tout, tous les fichiers que j'ai obte­nus dans mon man­dat m'on été par­tagé volon­tai­re­ment sous leurs appro­ba­tion. Je n'ai rete­nus aucun mots de passe et à la pre­mière demande de leur part, je leur ai remis illico. Ils ont attendu en décembre 2020 pour me deman­der les codes de leur page You­tube – One-Land, et je leur ai fourni ces infor­ma­tions à l'intérieur du délais demandé. 

 

- Il a agi sous le contrôle d'un enquê­teur de l’AMF pour obte­nir cri­mi­nel­le­ment accès aux don­nées de notre ser­veur. Avant d'agir ainsi, il s’est fait pro­mettre par le repré­sen­tant de cet orga­nisme de pro­tec­tion du public d'être rem­boursé pour le paie­ment qu’il devait effec­tuer pour l’activation dudit ser­veur nous appar­te­nant, par l’entremise du compte de dépenses de l’enquêteur;

*J'ai agis selon les demandes et ordres de la loi.

 

- Il a assu­ré­ment volé et par­tagé, avec l’AMF et d’autres inter­ve­nants mal­veillants, vos don­nées per­son­nelles et confi­den­tielles incluant vos adresses, vos numé­ros de télé­phone, vos cour­riels, ainsi que poten­tiel­le­ment copies de cer­taines pièces d’identité et/ou de vos copies de cartes de cré­dit que nous conser­vions avec votre auto­ri­sa­tion dans vos dos­siers per­son­nels et confi­den­tiels de prêteurs;

*Les don­nées qui ont été par­ta­gée ont été faites auprès d'organismes et inter­ve­nants judi­ciaire et d'ênquête officiels.

 

- Il a per­son­nel­le­ment nourri les médias au cours des 5 der­nières années pour s'assurer qu'il tien­drait le public et nos prê­teurs com­plè­te­ment mal infor­més en brouillant tota­le­ment la vérité au sujet de l'état réel et des inten­tions du pro­jet, ren­dant ainsi le déve­lop­pe­ment et le rem­bour­se­ment des prê­teurs extrê­me­ment dif­fi­ciles pour nous à accomplir;

*Je n'ai aucun contrôle sur les médias et leurs contenu, c'est m'accorder beau­coup trop d'importance et de poids. Je suis pas un ministre, ni chef de pupitre d'aucun médias.

Uti­li­ser mon pro­ces­sus judi­ciaire légal comme rai­son pour laquelle vous n'avez pas été rem­boursé, est une belle ten­ta­tive pour jus­ti­fier leurs incom­pé­tence et acti­vi­tés cri­mi­nelles depuis 10 ans. Mettre le "non-rem­bour­se­ment" sur le dos d'un recours est une oppor­tu­nité pour eux de jus­ti­fier leurs modus ope­randi en disant "Regar­dez, ce n'est pas notre faute."

 

- Il a direc­te­ment et étroi­te­ment col­la­boré de façon sour­noise et mali­cieuse avec John Isaa­ki­dis (ex-mari de Karine Lamarre) afin d’aider ce der­nier dans sa croi­sade inter­mi­nable pour obte­nir la garde com­plète des 3 enfants du couple divorcé Lamarre/Isaakidis;

*FAUX: On m'a demandé à moi, ainsi qu'à d'autres per­sonnes, de témoi­gner sur les agis­se­ments de Karine Lamarre et Marc-Éric For­tin auprès de leurs enfants. J'ai accepté de témoi­gner et fina­le­ment, je n'ai pas eu besoin de le faire, ni de me pré­sen­ter, tel­le­ment les preuves étaient suf­fi­santes. Ils y a plu­sieurs rap­port de police qui le confirme.

 

- Il a confirmé publi­que­ment lui-même avoir tout perdu : sa conjointe et ses enfants, sa sécu­rité finan­cière et ce, par ses propres com­por­te­ments et actions et pour les­quelles nous ne sommes aucu­ne­ment liés ou responsables;

*Fautes pro­fes­sion­nelles, non-rem­bour­se­ment de prêts per­son­nels et d'enterprises sont direc­te­ment lié à leur déci­sions. Non-seule­ment ils sont res­pon­sable de cette situa­tion, mais ils en sont le coeur et le point de départ. 

 

- Vrai­sem­bla­ble­ment déçu et insa­tis­fait de l’impact pour­tant dévas­ta­teur qu’il avait déjà causé depuis tout ce temps sur le pro­jet et sur nos vies per­son­nelles, il a envoyé une lettre ouverte le 27 jan­vier der­nier pour alié­ner et condam­ner, par ses pro­pos dis­gra­cieux, en s’en pre­nant à l'AMF, tous les médias et les dif­fé­rentes ins­tances gou­ver­ne­men­tales parce qu'il deman­dait déses­pé­ré­ment leur sou­tien dans sa cam­pagne de salis­sage et sa quête de ven­geance qui n’allait pas assez loin et vite à son goût;

*J'ai remis au visage des ins­ti­tu­tions leurs man­que­ments et bizar­re­ment, ils ont repris les reines du dos­sier qui traine depuis près d'une dizaine d'année. J'endosse, per­siste et signe­rai tou­jours cette lettre ouverte qui à été mes der­niers inves­tis­se­ment de temps pour cette cause de fraude. J'ai fait plus que ma part dans ce dos­sier et j'ai trans­féré mes efforts et insa­tis­fac­tions aux auto­ri­tés qui ont posi­ti­ve­ment réagis à cette dernière.

 

- Lorsqu'il a vu qu'il n'obtenait pas l'attention qu'il sou­hai­tait de la part de l’AMF et des médias, il a publié une lettre de ten­ta­tive de sui­cide le 5 février der­nier sur sa page Face­book et un lien Web, fai­sant tris­te­ment état de sa propre réa­lité actuelle;

*Les impacts de cette his­toire de fraude m'a poussé au bout de toutes mes res­sources et au plus pro­fond de mes retran­che­ments per­son­nels. En cette époque de #Bell­cause, je n'ai aucu­ne­ment honte d'avoir été décou­ragé par cette arnaque inter­na­tio­nale.  De plus, je ne vois pas en quoi ce décou­ra­ge­ment per­son­nel donne rai­son ou jus­ti­fie leurs acti­vi­tés criminelles.

J'y vois plu­tôt des gestes de panique et prêt à uti­li­ser n'importe quel aspect pour ten­ter de se remon­ter. C'est quand même un peu "cheap" d'utiliser cet aspect publi­que­ment, mais j'assume ma vie et je suis cer­tain que plu­sieurs en conviendront.

J'aurais beau­coup d'anecdotes effrayantes à dire à leurs sujet, sur leurs vie, enfants, voi­sins, agis­se­ments et com­por­te­ments, mais je me posi­tionne au-des­sus de ce genre de pro­pos indignes et de la classe la plus basse qui puisse exis­ter pour me concen­trer sur les pro­pos fon­da­men­taux et direc­te­ment liés à leurs procès. 

 

- Pour se don­ner bonne conscience en de telles cir­cons­tances, l'AMF a dif­fusé sur son fil de presse une com­mu­ni­ca­tion trom­peuse sur l'état des pro­cé­dures devant la Cour du Qué­bec en réac­tion directe aux lettres ouvertes de Jean-Fran­çois Simard, confir­mant ainsi et expo­sant à nou­veau leur alliance condamnable.

*L'Autorité des mar­chés finan­ciers du Qué­bec fait des décla­ra­tions trompeuse!

-Karine Lamarre

 

(Rien à ajouter !.. )

 

Com­ment rece­vez-vous main­te­nant cette trans­pa­rente et hon­nête réalité?

N’est-ce pas dom­mage que les médias ne fassent pas la part des choses et que, sys­té­ma­ti­que­ment, ils favo­risent encore une fois le sen­sa­tion­na­lisme au lieu de mettre en lumière la vraie infor­ma­tion et de trans­mettre au public les faits réels? Et qui est la voix de la très grande majo­rité des prê­teurs qui, elle, veut clai­re­ment la réus­site reten­tis­sante à laquelle ce pro­jet inter­na­tio­nal est destiné?

*Les médias sérieux font enquête avant de dire n'importe quoi. Il y a plus de sen­sa­tion­na­lisme dans les pro­pos de Karine Lamarre et Marc-Éric For­tin sur leurs pro­jet et débats judi­ciaires que dans toute l'histoire des paru­tions des "Allô Police" et "Écho-Vedette" réunis.

PS: Je n'ai abso­lu­ment aucun pou­voir sur l'AMF, ni leurs enquê­teur qui ne par­tagent aucune infor­ma­tion sur leurs enquêtes. Ce ne sont que des dis­cus­sion à sens unique. Je par­tage, ils notent et conti­nuent leurs enquêtes.

 

Tout compte fait, Jean-Fran­çois Simard avec ses com­plices et les autres inter­ve­nants mal­veillants ont orches­tré une réa­lité ima­gi­naire soi-disant pour pro­té­ger ou mettre en garde des « vic­times » tout aussi ima­gi­naires. La vérité est que leurs actions ont fait du mal à de réelles et véri­tables victimes.

*Je pré­fère entendre un juge déci­der de cela.

 

Ce sont Jean-Fran­çois Simard et les autres inter­ve­nants mal­veillants dont l'AMF et nos ex-conjoints res­pec­tifs qui ont nourri, depuis 2012, une enquête cou­sue d’actes cri­mi­nels et de ven­geances personnelles.

*On écoute les gens qui nous parlent et témoignent. On ana­lyse et ne dif­fuse pas tous les pro­pos recueillis. Obte­nir jus­tice n'est pas une ven­geance, mais une com­pen­sa­tion et équi­libre social enté­riné par un sys­tème de jus­tice en place.

 

Vous tous qui avez cru et les cen­taines qui ont conti­nué avec nous de sou­te­nir le pro­jet et dont les espoirs sont constam­ment repous­sés à causes des actions de ces inter­ve­nants, nous vous renou­ve­lons notre pro­messe. Mal­gré vents et marées, nous n'aurons de répit avant que notre pro­jet soit cou­ronné de suc­cès et que vous soyez remboursés.

*J'ai entendu ça plu­sieurs fois par année, en 2012, 2013, 2014, 2015, 2016… 

 

Alors que le carac­tère gran­diose du pro­jet et son inten­tion noble ont été bâtis, brique par brique, depuis une décen­nie, grâce aux efforts achar­nés de vous tous col­lec­ti­ve­ment, et fai­sant face à de l’adversité constante, vous serez main­te­nant d’avis que la vision d’unir toutes les nations et cultures – idéal qui était pos­si­ble­ment uto­pique au moment où vous y avez cru et y êtes ral­liés – a pris tout son sens dans les évé­ne­ments et le tumulte pla­né­taire de cette der­nière année.

*Le film sur cette his­toire de fraude sera plus ren­table que la pro­messe éter­nelle de leur faux projets.

Pla­né­taire, c'est vrai.. les médias et auto­ri­tés cana­diennes, amé­ri­caines et euro­péennes sont aussi sur ce dos­sier. Dans ce sens, c'est effec­ti­ve­ment rendu international.

 

En conclu­sion, soyez assu­rés, chers prê­teurs, que rien ni per­sonne ne pourra détruire notre enga­ge­ment, notre pas­sion et notre amour pour ce pro­jet de vie. Nous allons main­te­nant nous pré­va­loir du droit de prendre action en retour de ces gestes condam­nables, au plein poten­tiel de la loi et ce, dans le but de pro­té­ger tout ce tra­vail immense accom­pli depuis des années, ainsi que les inté­rêts de vous tous.

*Ça, "ne jamais s'arrêter", nous l'avons com­pris aux tra­vers de vos décla­ra­tions en cour, actes cri­mi­nels répé­ti­tifs et conti­nue depuis des années. C'est pour ce refus de votre part d'entendre rai­son que des peines d'emprisonnement sont envi­sa­gées puisque que vous ne sem­blez pas com­prendre sur quelle pla­nète vous vivez. Ce n'est pas parce que vous "vou­lez" que vous "pou­vez" faire et dire n'importe quoi.

 

Sin­cè­re­ment,
Mark-Érik For­tin & Karine Lamarre

JF

Jean-Fran­çois Simard
Ini­tia­teur du recours collectif
Ex-employé et inves­tis­seur fraudé de One-Land. Lova­ganza, JF&G
Admi­nis­tra­teur concep­teur du site et médias sociaux de Lovaganza-scandal.com